L’eau à la bouche…

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En relisant l’un de mes derniers articles (celui des "zouzas", pour ne rien vous cacher), je m’aperçois que je vous avais (presque) promis de vous montrer ce que j’avais proposé avec la version salée.

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Chéri ayant pris en photos les plats du réveillon, je peux vous expliquer. Comité restreint, nous n’étions que trois.

Apéritif

 Foie gras maison, quelques toasts sur du pain d’épices.

Entrée 

Bûche aux deux saumons, moule triangle.

Facile à faire, la recette ici. J’avais cuit et assaisonné le saumon avant de faire le montage. J'ai utilisé du pain de mie sans croûte que j'avais écrasé au rouleau à patisserie. Servie avec une sauce yaourt grec, citron, aneth, sel et persil.

Plat

Les fameux zouzas escargots avec : 

* Purée de patate douce juste beurrée, 

* Emincé de poireaux cuits al dente au beurre d’escargot,

* Quelques gouttes de crème de vinaigre balsamique.

Fromage

J’avais hâte de sortir le plateau de fromages dont j'étais, en toute modestie, très fière. J’ai préparé les fromages déguisés le matin de bonne heure (inspiration ICI)

   * Coulommiers garni de noix torréfiées, roquefort, mascarpone.

   * Nougat de fourme d’Ambert (ici, préparé la veille).

   * Saint Marcellin garni de tomates séchées, olives noires, mascarpone.

   * Chèvre bûche cendré

Des noisettes et des pistaches torréfiées, quelques branches de sarriette fraîchement cueillies au jardin, du raisin maintenu en place avec un peu de fromage à tartiner à l’ail, des étoiles de comté et quelques tuiles de parmesan (au micro ondes : ici)

Quelques sueurs froides tout de même, quand j’ai vu que tout le montage penchait et glissait inexorablement. J’ai re-démonté mon échafaudage et piqué des cure dents dans le coulommiers.

Dessert

Bûche citron coco (ICI). Très frais, biscuit léger, je referai !

Coulis de poivron rouge et pomme (ICI), feuille de verveine cristallisée et cerise au marasquin. 

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Voili, voilou : pas d’agapes pour la fin d’année, réveillon et jour de l’an en amoureux. Pour tout vous dire, nous nous sommes rencontrés un premier janvier. Je ne vous dirai pas de quelle année, vous pourriez penser que nous sommes vieux ! 

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Allez... au sauna, ma cocotte !

Aperçue lors d’une de mes nombreuses randonnées sorties sur le net, une recette de pain, mais cuit vapeur en cocotte minute (là).

***** J’avoue que j’en fus, 

sur le coup, 

tout à fait sur le cul ! *****

Bien sûr, je n’ai pas tardé à tester. Premier essai concluant, je vous propose donc cette recette.

Certaines photos pourraient heurter les plus sensibles d’entre vous, notamment celles qui aiment une croûte épaisse, dorée et craquante.

 (MaRTinE, passe donc ton chemin).

Voici les ingrédients du jour. Proportions en fin d'article.

Comme pour le pain cocotte sans pétrissage, je mélange les farines choisies avec le sel et les graines.

Je fais un puits et verse l’eau, puis la levure. Laisser en attente environ 10 mn sans mélanger.

Ensuite, ramasser rapidement les ingrédients, sans pétrir et laisser pousser au chaud, couvert, environ 3H.

La pâte a bien levé.

Dégazer tranquillou. Etirer la pâte et rabattre les côtés vers le centre. Recommencer 2 ou 3 fois avant de bouler. Déposer dans le saladier garni d’un papier sulfurisé. Huiler légèrement le dessus, entailler et recouvrir  d’une feuille de papier d’alu.

Faire chauffer de l’eau dans le fond de l’autocuiseur à la limite du panier métallique. Déposer le saladier, stopper le feu, fermer la cocotte et laisser en attente 20 mn.

Allumer sous la cocotte assez fort, puis dès le chuintement de la soupape, baisser et compter 45 mn. Ouvrir dès la fin de la cuisson, sortir le saladier. 

Je vous avais prévenus, point de croûte dorée. Je laisse refroidir sur une grille. Reste à sortir le couteau à pain pour trancher, je suis tout à fait bluffée du résultat. 

J’ai passé le chalumeau sur le dessus pour essayer de dorer le pain : fiasco complet. (MaRTinE, sache que si, malgré mes conseils, tu as tout de même lu cet article, j’ai beaucoup pensé à toi, lors de cette opération.)

Voili, voilou : une recette à découvrir...

Bien conservée…

Il y a évidemment une foule d’idées à réaliser avec des boîtes de conserves. Nous n’en consommons que très peu, il faut profiter de l’opportunité d’en avoir ouvert une. Petit matériel de base : 

👉Après avoir enlevé l’étiquette (et NAAAN, curieuse ou curieux, vous ne saurez pas ce qu’il y avait dedans), à l’aide de mon antique ouvre boîte, j’enlève le fond.

👉Ensuite,  avec une pince, j’écrase soigneusement le bord de façon à ne pas risquer de se couper.

👉Marteau pour aplatir le bas.

👉Je passe de la ficelle à rôti pour accrocher ensuite l’anse, ce qui évite de percer des trous. (clou et marteau ou vrille si besoin).

👉Atelier peinture. Comme toujours très indécise. D’abord une couche de patouillage dans des tons cuivrés. Cela ne me plaît pas du tout, donc, je change et poupougne avec du blanc cassé légèrement irisé.

👉Pendant que ça sèche, je perce un bouchon avec une vrille et passe du fil de fer recuit. Je glisse dans la ficelle et pour maintenir en place, à l'intérieur, de la colle au pistolet.

😳Évidemment, ce n’est pas trop du tout la saison d’aller glaner quelques fleurs au jardin, donc (je vous prie de m’en excuser) que du plastique. Mini ardoise, coccinelle et fleur de bois.

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📷J’essaie de placer cette sublime composition. Au dessus de l’ancienne sonnette, c’est parfait, mais juste pour la photo. 

Voili, voilou : le message de l’ardoise, ce n’est pas QUE pour faire beau, c’est avec plaisir que nous vous recevrons chez nous.

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Je n'en resterai EVIDEMMENT pas là, d'autres idées à mettre en œuvre, pour des genres bien différents ! 

Zoom zèlé sur les zouzas…

Il y a un an...

Pour vous dire la vérité vraie que si je mens j’irai en enfer, c’est en folâtrant sur le net que j’avais aperçu ces friandises (là). 

Par contre, bien difficile VOIRE impossible de façonner les coques sans appareil spécial, genre de gaufrier avec des alvéoles. Mon challenge avait été d’en trouver un pour pas trop cher.

*****

Après moult recherches, pour moins de 10€, j’ai eu mon moule électrique, mais dont les poignées étaient méchamment cassées. Bidouillage et rafistolage pour pouvoir l’utiliser au plus vite. *****

J’avais fait quelques essais, avec, en apothéose, mon dessert de Noël 2022, ICI. 

Et puis, l’année a passé tellement si vite, que je ne m’en suis servi qu’une seule fois, mais toujours sans faire de photos pour vous montrer.

Cette fois-ci, c’est la bonne...

La pâte. Je vous livre les proportions à la fin de mon article.

J’ai mélangé le beurre avec la farine, la maïzena, le sucre. Je n'ai pas mis de sel, puisque le beurre en contient déjà. Ensuite l’œuf battu. J’ai dû ajouter environ 1,5 CS d’eau froide pour amalgamer la pâte, mais sans pétrir.

Laisser reposer 30 mn. Ensuite, j'ai consciencieusement pesé des boules de 5 grammes en leur donnant une forme  oblongue.

L’appareil :

Mettre en chauffe. Le mien n’a pas de thermostat, juste un voyant qui s’éteint lorsque qu ’il est prêt. Je peux réaliser 24 coques en une seule fois, ça, c'est très PRATIQUE.

Disposer une boulette dans chaque alvéole, fermer le couvercle, maintenir fermé 3 mn puis laisser cuire environ 6 à 7 mn en tout.

Vérifier la coloration.

Démouler : les coques sont très fragiles, laisser refroidir sur une grille. J’ai compté 66 coques, mais comme je ne me souviens plus combien j’en ai mangé goûté , peut-être 68 en tout.

Araser délicatement les coques avec un couteau pointu, une fois qu’elles sont refroidies ! Quelques unes se cassent. Les miettes iront faire le top d'une salade ou d'un potage, pas de gâchis.

Les garnitures :

Traditionnellement, les coques sont garnies de confiture de lait avec éventuellement une noisette.

Je pensais avoir en stock de la confiture de lait, mais que NENNI. Vite, j’en prépare 3 boîtes d’un coup. Eau à 3/4 de hauteur des boîtes dans l’autocuiseur et 40 mn à partir de la mise sous pression. J’ai laissé retomber la pression seule, puis refroidir les boîtes. J’en ouvre une, mélange et ajoute quelques gouttes d’extrait de vanille de la Réunion, toujours aussi fabuleuse.

J’ai aussi torréfié des noisettes de NOTRE jardin, à la poêle durant une quinzaine de minutes.

Montage :

Une petite cuillerée de confiture de lait, dans chaque 1/2 coque et une noisette d’un côté avant de refermer.

Saupoudrer de sucre glace et attendre idéalement 24 H avant de… DÉGUSTER ! Un délice, vous pouvez nous croire sur parole, Chéri et moi.

Je vous ai annoncé LES garnitures : changement complet en version salée pour  des escargots en "coquille" comestible.

📌Un beurre maison bien parfumé : persil, ail, sel et beurre.

📌J’ai rincé des escargots en boîte, avant de les disposer dans les coques. A couper, s’ils sont trop gros. Remplir avec le beurre. Le tour est joué.

Nous avons dégusté les premiers ce soir, après un passage au four de quelques minutes à 200°. Tout se mange, j’adoooore (et je ne suis pas la seule, hihihi) Le reste file au congél.

Voili, voilou : j’ai une petite idée de présentation pour notre repas de Noël, je vous montrerai !

Boule à facette…

Si comme moi, vous êtes né.es au siècle dernier dans les années 60, vous avez sûrement connu les boules à facettes qui miroitaient dans les lumières des boîtes de nuit… (souvenir, souvenir).

Moins clinquantes, mais qui font leur petit effet, je vous propose des : 

                        TRISKELE PAPER GLOBES

Pour en savoir un peu plus sur le TRISKEL, rendez vous par ici. C’est évidemment par hasard que j’ai découvert et admiré ces sphères.

Pour en faire le gabarit, j’ai pianoté un bon moment avant de trouver mon bonheur. C’est là 

Bref, j’ai mon gabarit, je coupe les trois bandes et reporte les arrondis avant de les marquer au plioir.

Je colle deux des trois bandes pour former des anneaux. Les deux premiers anneaux sont placés l’un dans l’autre.

Ensuite passer le dernier et coller sur la languette. Tourner les anneaux de façon à cacher les "coutures" et à bien centrer les arrondis. Peut être difficile à comprendre, mais lorsqu’on commence à plier, on voit de suite comment positionner les anneaux les uns par rapport aux autres.

Voilà, c’est terminé. Pas parfait, mais j'aime beaucoup.

✂Pour le petit modèle, scanner et réduction avant de commencer.

Merci à Clo. qui m’a littéralement sauvé la vie en me donnant du papier, idéal pour cette fabrication. D’abord en calque : 

Et le dernier en carton imprimé, plus facile à travailler.

En toute modestie (what else !), je le trouve presque parfait. 

On voit bien le motif trikel des 3 "jambes" entrelacées.

*** Changement de matière ***

Aperçues par ici, les mini chaussettes du père Noël. J’ai suivi le tuto pour la première et pour la deuxième, j’ai un peu modifié le début.

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Un cercle magique et 4 mailles serrées. Deuxième tour 8 MS, et troisième 1 MS, 1 augmentation, ce qui donne 12 mailles comme dans le tuto. Je n'ai pas changé la suite.

Pour le talon, reculer de 6 mailles et faire 3 rangs de MS avec une maille en l'air pour tourner.

Reprendre la couleur initiale, 6 MS et sur la hauteur du talon , faire 3 MS d’un côté, puis 3 de l’autre. On retrouve les 12 MS.

Ensuite plusieurs tours jusqu’à la hauteur désirée, puis un rang de blanc et une petite chaînette (ici 16 mailles) pour faire la boucle. J’ai fermé la petite ouverture du talon.

Je préfère la deuxième (à droite sur la photo, la pointe du pied me plaît plus)

Voili, voilou : cette année, mon sapin est fait et la déco de table prévue, mais je garde ces idées "sous le coude" pour 2023 !