COSMETO PATOUILLAGE, VERSION 2 !

PREAMBULE D'ARTICLE

📌Après avoir eu le désagrément de voir mon article initial être supprimé par Blogger, voici donc le même sujet, édulcoré de ses liens, puisque, je cite  : "Votre contenu a enfreint le règlement sur les logiciels malveillants et les virus ".

👉Veuillez m’en excuser. Il vous faudra chercher par vous-même les renseignements complémentaires.

👉Mille excuses également auprès des sites dont j’ai supprimé les liens, j'ai pour habitude de citer mes sources ! 

... REVENONS à NOS MOUTONS...

Après mon premier essai de savon melt and pour, puis de savon en saponification à froid, j’ai continué mes expériences, mais il fallait attendre avant de voir le résultat. Le processus de SAF demande du temps, notamment pour le séchage.

Bref, ayant les ingrédients sous la main, voici un PAIN D'ARGILE pour la toilette, rapidement préparé et rapidement utilisable.

Réserve habituelle :

* Je ne fais que partager des petites tambouilles et popotes que je n’ai d’ailleurs généralement pas inventées. 

* Je partage parce que cela ME convient, mais pour le reste c'est à vous de voir ! 

Les ingrédients : argile, flocons d’avoine, miel et hydrolat de lavande. Pour les proportions, rendez-vous à la fin de l’article. 

Précaution de préparation : ne pas utiliser d’objet en métal avec l’argile, préférer  bois ou plastique (même si c’est beurk beurk). Ma balance de précision est de sortie.

Les flocons d’avoine sont passés au moulin à café pour avoir une poudre très fine, presque impalpable. Je mélange avec l’argile.

Je pèse le miel et le dilue dans l’hydrolat. Je verse sur les poudres et mélange d’abord à la cuillère en bois, mais, tout compte fait, je patouille main gantée pour bien homogénéiser.

J’avais préparé un moule, mais c’est inutile, le mélange se tient bien. Je façonne deux pains de 120 g chacun. Ils fleurent discrètement bon la lavande. Je les laisse sécher tranquillou 2 jours.

Et pour répondre à toute question plus ou moins existentielle :

Mais, au fait, pourquoi un pain d’argile ? 

Il est beau, il sent bon et c’est moi qui l’ai fait. Plus sérieusement, pour la toilette du visage.

Comment l’utiliser ? 

Humidifier la peau, passer le pain, puis masser doucement avant de rincer. La peau est nettoyée en douceur, par micro gommage.

Voili, voilou : peau douce et nette, avec un produit maison, j’adoooore !

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Ingrédients et proportions :

   * Argile blanche : 140 g

   * Flocons d’avoine : 23 g

   * Miel : 2,5 g

   * Hydrolat de lavande : 80 g

Ne pas laisser le pain sous l’eau, il risque de se dissoudre. Il doit être utilisé presque à sec, sur peau mouillée.

GRRRRRRR !

COUP de GUEULE

Il y a quelques jours, j’ai reçu un mail de l’équipe BLOGGER m’indiquant qu’un de mes article leur avait été « signalé pour être examiné »…

Puis, je cite :

"Nous avons déterminé qu’il enfreint notre règlement et avons donc annulé la publication (…) Par conséquent, les lecteurs de votre blog n’y ont plus accès".

Après un moment d’effroi, je voudrais bien savoir :

- Qui a signalé cet article ?

- Mais SURTOUT avoir la raison précise du pourquoi de la suppression car un peu plus bas dans le mail reçu :

"Votre contenu a enfreint le règlement sur les logiciels malveillants et les virus"

J’ai lu la prose concernant ledit règlement, mais difficile de comprendre.

J’imagine donc que c’est un des liens affichés dans l’article qui est la cause de cette suppression.

J’ai contacté l’équipe BLOGGER, il y a maintenant une semaine, mais pour l’instant aucune nouvelle.

Métamorphose...

Si vous vous imaginez qu’il n’y a que les chats qui ont plusieurs vies, vous vous trompez. 

... Démo de suite ...

J' ai reçu il y a quelques jours un ancien pot de fromage blanc.

 * belle contenance, 

* couvercle,

* anse, 

* sans oublier son décor champêtre.

... BREF...

PARFAIT, pour ranger du petit bazar.

Seulement voilà : du petit bazar, je n’en ai point. Enfin, SI, bien sûr que SI, mais il est trié, rangé… parfois si bien d’ailleurs que je ne retrouve pas toujours ce dont j’ai besoin.

🍒🍒🍒🍒🍒Ah, j’oubliais, en ouvrant le seau, bonheur, extase et joie sans limite de découvrir les premières cerises, nous nous sommes régalés. Merci Annie. 🍒🍒🍒

J’ai donc un seau maintenant vide, que je NE PEUX (génétiquement parlant) PAS jeter, mais dont je n’ai pas l’utilité. Place donc à la customisation.

Réduire la hauteur : j’ai marqué tout le tour à 6,5 cm, coupé aux ciseaux et cutter, puis passé un léger coup de papier ponce pour adoucir le bord.

Comme je suis à fond dans la récup, je farfouille dans mon grand sac de tissus seconde main. J’ai vite fait de trouver un reste de jean qui fait mon bonheur. Je coupe une large bande pour habiller d’un coup, extérieur et intérieur.

Je colle d'abord l'extérieur,  crante le dessous et rabats les languettes. 

Pour le fond de l’intérieur, je coupe dans le couvercle et recouvre de jean… Colle vinylique toujours et maintien avec des pinces à linge.

Déco : je vous passe les affres du "que choisir", mais plusieurs allers-retours dans mes galons, dentelles, vieilles ceintures, etc. J’opte pour de la cordelette, collée au pistolet.

En dessous, plus de jean, je colle de la mousse. Je termine par quelques cœurs de bois récupérés d’une autre de mes œuvres d’art.

Voici le détail de l’anse : 

Voili, voilou : à vrai dire, je n’en ai pas plus l’utilité maintenant, mais je me vois mieux offrir cette mini corbeille, plutôt que le pot initial ! 

(Qu’on se le dise.)

Vendez, Vendée...

Il y a quelques mois, nous avons partagé un apéritif chez des amis, l’occasion de découvrir, déguster et apprécier le PREFOU.

👀Première étape : quelques recherches sur internet pour en connaître l’histoire. Vous en saurez tout autant que moi, par ici. Pour les fainéants du clavier, c’est une spécialité vendéenne de pain, un morceau de pâte "pré"... "enfourné"... pour (autrefois) tester la température du four avant la cuisson des pains, puis garni.

✌Deuxio : regarder le produit en magasin. Concrètement, c’est de la baguette garnie d’un beurre aillé. Entre 12 et 15 € le kilo et plus de 60 % de pain dans la composition, je peux faire moi-même à la maison, voilà qui est dit.

💪Tertio : faire maison, moi-même, évidemment !

Une première fois avec une baguette maison : 

Il ne se passe pas une semaine sans que je fasse la boulangère : baguette, pain cocotte, pain brioché et dernièrement, même si je ne vous en ai pas encore parlé pain turc...

... et baguettes carotte. Ce sont ces dernières que j’utilise pour vous présenter mes aménagements, avis et conclusions. J’ai coupé les baguettes dans la longueur, texture entre pain et pain de mie. J’enlève un peu de mie.

J' ai réalisé trois garnitures, certes dérogeant un peu à la tradition, mais, dans mes pérégrinations, j’ai vu diverses possibilités. Tout de même une base commune de beurre et ail des ours à l’huile d’olive et sel (maison, entendons nous bien).

J’ai patouillé tout ça avant de tartiner.

Baguette 1 : Après le beurre à l’ail, une belle couche de tartinade de tomates, toute prête, je l’avoue, mais bien parfumée et onctueuse.

Une fine couche de moutarde sur l’autre moitié et HOP, je ferme.

Pour la seconde baguette, j’ai ajouté sur la tomate un hachis très fin d’olives noires. Photo floue, donc juste les olives, des fois que vous ne sachiez pas ce que c'est.Dernière baguette : quelques filets d’anchois finement hachés. 

J’ai entouré d’un papier d’alu et laissé au congélateur environ 30 mn, pour que les garnitures se raffermissent. Ce laps de temps écoulé, j’ai coupé les baguettes en tranches d’un petit cm d’épaisseur, avant de les emballer plus serrées dans l’alu, car je vais congeler.

Pour déguster, passer 10 à 15 mn au four à 180°. Je préfère laisser dans l’alu et ouvrir ensuite, mais on peut enlever l’alu avant de passer au four, autrement dit : "c’est comme on veut qu’on choise".

Verdict des uns et des autres au fil des différents apéritifs entre amis : idée sympathique et conviviale. 

👍
On peut bien sûr réaliser le préfou avec une baguette achetée, nul besoin de la fabriquer soit même. Dans mon cas, cela me permet de me rengorger encore un peu plus, hihihi.

Voili, voilou : à préparer facilement en amont, je vais faire en sorte de toujours avoir une petite provision. 

Il y a bien longtemps…

Ah oui, c’est vrai que ça fait très longtemps que je ne vous ai pas présenté d’astuce… cuisine pour aujourd’hui !

Dans mes recherches de popotes saines et naturelles, je me suis bien évidemment penchée sur la lactofermentation. J’ai déjà fait des essais, partagés par ici ou par là, d'autres sont en cours.

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Grosse dernière cueillette de radis hier. Les autres années, on en avait peu. Du coup, Chéri s’est lâché et a semé un paquet entier d’un seul coup. Évidemment, gros rendement cette fois-ci ! 

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Après avoir... nourri la moitié de notre rue, les amis, préparé verrines et fricassée (ici) et avec les fanes, pesto et beurre manié, sans compter les pousses grignotées en salade (là)… j’ai décidé de faire les derniers en lactofermentation, pour changer des pickles (ici)

Deux petits bocaux avec une simple saumure (20g de sel par litre d’eau non chlorée), mais petit HIC, les légumes remontent (évidemment) à la surface et ne sont donc plus totalement immergés ce qui est indispensable pour la lactofermentation.

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OK, je délaye, mais on arrive bientôt au TrUc, rassurez-vous !

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Je plie du papier sulfurisé et le pose à la surface pour empêcher que les légumes remontent. Ça fonctionne, mais ça me gêne de laisser tremper du papier dans la saumure.

Les méninges en émoi, j’ai cherché des alternatives et trouvé mon bonheur, ici. Grand merci pour les nombreuses idées. J’ai donc testé deux languettes de carotte positionnées en croix, GÉNIAL !

De plus, la carotte pourra se manger. A retenir aussi, une feuille de chou, une rondelle d’oignon, ou des cure-dents. 

Voili, voilou : je suis sauvée. Nous pourrons grignoter nos petits radis un peu plus tard.

J’ai les boules…

J’aurais pu titrer mon article...

"KUSUDAMA" 

... mais j’imagine que cela vous aurait laissé (peut-être) un tantinet dubitative... (Rassurez-vous, tout autant que moi, lorsque mon amie Claudine m’en a parlé.)                                         

Experte dans le pliage, notamment de livres (ici ou là), elle m’a gentiment proposé un atelier créatif et je me suis donc empressée d’acquiescer. Je vous montre.

Peu de matériel, on peut faire vraiment récup. ou très sophistiqué en choisissant des papiers plus prestigieux. Par contre, pas trop épais pour un pliage aisé.

J ’utilise les pages d’un catalogue en privilégiant les parties colorées. Le modèle que Claudine me montre est composé de 12 fleurs, chacune formée de 5 pétales, ce qui revient à effectuer 60 fois le même pliage. Un petit massicot est le bienvenu pour couper les 60 carrés. Ca tombe bien, Claudine a.💗

Le café, c'est SimPLemEnt pour ne pas oublier de s'hydrater, car, parallèlement à cette activité, nous avons un tas de choses vERy impORTant à  (nous) raconter.

Carrés de 11 cm de côté, mais c’est au choix, bien sûr. J’ai fait plein de photos pour détailler la fabrication d’un pétale, mais de retour à la maison, j’ai trouvé plusieurs vidéos, par exemple ici. YAKA suivre le lien. Quelques étapes de ma mienne... 

Une fois les pétales préparés, un filet de colle sur le bord pour fermer.

D'abord coller deux pétales, puis un groupe de 3. Je laisse à chaque fois un petit temps de séchage pour ne pas avoir de mauvaises surprises.

Pour le dernier collage, qui joint le premier et le dernier pétale, écarter doucement et positionner un long trombone pour maintenir. Et d' UNE : 

Les 5 premières fleurs sont collées en formant une sorte de couronne, sur la longueur de la pointe d’un pétale (je me demande si vous allez arriver à me comprendre) en laissant une pointe libre entre deux fleurs, pour coller par dessus la dernière fleur. C’est un peu plus délicat, car il faut tout coller en même temps.

Une petite astuce qui m’a été fort utile : en dessous pour chaque fleur, on doit avoir deux pointes contiguës libres. (Capito ?)

On obtient une demi sphère.

Reste à… refaire la même chose : 5 pétales pour une fleurs, 5 fleurs collées en couronne, la dernière fleur sur le dessus : 

Reste à… coller les deux demi sphères. Je ne vous détaille pas, j’y suis allée en tâtonnement expérimental, mais je m’en suis sortie sans trop avoir besoin de redécoller. Toutes les pointes doivent être collées.

J’ai glissé une ficelle colorée, une dernière ( et 13ème donc) fleur fixée à l’envers, quelques perles de bois et l’incontournable moment d’ErrAncE visuelle pour lui trouver une place.

Compter tout de même environ 2H 30 pour tout faire, hors papotage.

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Voili, voilou : un joli modèle à décliner en différentes tailles et couleurs. Pour ma part, je suis conquise, merci Clo.

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