Snood un jour... snood toujours !

Je trouve dommage de ne pas utiliser notre belle langue française, mais c’est plus rapide de dire SNOOD que "écharpe en forme de tube qui s’enfile par la tête".  

   
Pour moi, ce mot me fait penser au nom d'un plat typiquement suédois qu'on pourrait goûter chez Ikéa...
     Je délire grave ou vous trouvez aussi ?


Depuis loooonnnngtemps déjà, je voulais en faire un, non pas tricoté ou crocheté, mais tricotiné… 
Et oui, j’ai un beau tricotin mécanique, qui permet d’aller à toute vitesse et d’obtenir un tube  bien régulier. Rappelez- vous de mes premiers essais.
     *** Alors donc, pourquoi se priver ?

Environ 12 m de tricotin de différentes couleurs.
J’essaie différentes façons d'agencer mes tours. Je crochète une longueur, simplement de mailles en l’air.
Je fais plusieurs tours d'une couleur, entourés par une autre.
Après, c’est un peu à la va comme je veux peux : je fais, défais, entortille, noue et dénoue, tresse, natte, etc ! 
Tout compte fait, je laisse de côté le jaune. J’arrête ensuite tous les fils. 
Quelques bidouilles pour agrémenter, des fois qu'il soit trop discret. 
A ranger dans les accessoires, colifichets de la fashion sphère...
Et comme je ne doute pas un instant de votre envie de le voir porté par un mannequin, je me dévoue...
(même si c'est difficile de tout concilier : cacher le triple menton, les rides et les cernes, la coiffure pas coiffée, et mettre en valeur l'objet à propos duquel je fais ces photos, hi, hi, hi ! )

Voili, voilou : entre collier fantaisie et snood, pour affronter joliment les frimas, même si je ne suis pas sûre que celui ci me tienne bien chaud.

A L’ANNÉE
PROCHAINE !!

Dans les gènes ??




UN RENDEZ VOUS
 A NE PAS 
MANQUER
Rappelez  vous, il n’y a pas si longtemps, j’avais la joie, l’honneur et l’avantage de voir mon blog cité dans une revue de déco, LA
Cette fois ci, c’est l’un de mes fils, comédien manipulateur de marionnettes qui se distingue !
Déjà là, il avait pris la pose pour la sortie du CD de leur dernier spectacle : j’avais trouvé la mise en scène fort réussie. (Il est quand même trèèèèès bô, hein !!?)
Encore plus fort, il passe à la télé et non, LUI, ce n’est pas une blague !
Je vous invite donc à regarder ce concours de marionnettes dans l’émission animée par Jean Luc Reichmann  le samedi 2 janvier à 20H55, sur TF1.
Je n’en sais pas beaucoup plus que vous (enfin un peu quand même, mais je ne suis pas un mouchard... ). En attendant, vous pouvez déjà faire connaissance avec la troupe, en cliquant par ici.



A CONSOMMER SANS MODERATION
A PARTAGER SANS VERGOGNE


Voili, voilou : une belle soirée en perspective !!

Je suis un peu enrobée…

Mais en ces périodes de fêtes, y’a pas que moi, d’abord !
Premiers essais avec la tempéreuse à chocolats
Voici MA tempéreuse, tellement désirée, tant attendue, enfin arrivée !  Je déballe religieusement et lis attentivement les recommandations et mode d'emploi.
Pour aller plus vite (conseils lus sur internet), je fais fondre 300 des 400 g de pistoles de chocolat noir au micro-ondes en vérifiant la température.
52°, c’est parfait.
J’ajoute les 100 g de chocolat réservés, verse mon mélange dans la cuve de la tempéreuse, puis continue à surveiller la descente aux enfers…  J’active le processus en plaçant la cuve sur un bac à glaçons et en mélangeant constamment.
27° : j’installe la cuve dans la tempéreuse et règle celle-ci sur 31°. J’utilise mon thermomètre de cuisson en doublette pour être sûre de la température, car le thermostat de la tempéreuse me semble un peu olé olé. Le chocolat est brillant, fluide, je jubile. 
Je commence par les caramels (J’ai refait une nouvelle fournée) : tremper, récupérer, tapoter, déposer, décorer… 
LA fabuleuse fourchette que Jacques m’a fabriquée est parfaite, absolument parfaite : du vrai matos de pro. Merci  Jacques !
Regardez comme c'est beau, comme ça brille...
Las, au bout de quelques minutes le magnifique brillant de mes caramels devient terne et moche, avec des striures blanchâtres. Ma déception est immense.
Il faudrait que je recommence le processus complet de tempérage, mais je suis dépitée et même pas sûre du résultat.
Je continue donc avec les orangettes.
Il me reste du chocolat et je vais simplement le couler sur une feuille de papier sulfurisé.
Parallèlement, je prépare un petit mélange de cerises confites coupées en 4, pistaches torréfiées en 2, praliné et brisures de meringues.
J’étale mon reste de chocolat à la spatule et couvre de mon mélange. Au moins, on ne verra pas que le chocolat n’est pas brillant !
Pour la présentation, je casse cette pseudo tablettes en gros morceaux irréguliers : ça change !
PPC (piètre petite consolation) : même si le chocolat n’est pas brillant, ces friandises sont délicieuses


Voili, voilou : un jour je l’aurai !

Topiaire express…

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Encore une mini déco réalisée rapidement. J’avais repéré l’idée ICI, mais celle que je vous propose est plus esprit "bidouille récup".
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De la mousse récoltée hier dans le jardin pour commencer. (ou de la mousse synthétique, mais c'est nettement moins écolo)
Je prépare ma base : une boule de papier journal assez serrée.
J'emballe de papier d’alu...
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... puis de plastique, car il faut humidifier la mousse de temps en temps, si on veut la garder un moment, et le papier journal mouillé s'avachirait.
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Je dépose des morceaux de mousse assez grands et je la maintiens avec du fil à coudre, passé dans tous les sens.
Une petite coupe aux ciseaux pour égaliser.
Déco : j’enfile des perles sur un fil métallique fin.
Je coince chaque perle en faisant un tour sur elle-même avec le fil, puis dispose cette guirlande improvisée sur ma boule de mousse.
Pour terminer, un fil d’alu artistiquement enroulé… Et TAC, fini !
Sur ma lancée, et comme il reste de la mousse, des petites copines simplement disposées sur un plateau. (Il vaut mieux éviter de déposer directement sr la nappe ou sur un meuble, l'humidité de la mousse pourrait salir ou abîmer !)
Deux de ces boules n'ont pas de cœur de papier/alu/plastique... : encore plus rapide et simple.
Après, c’est toujours pareil… C’est la base à décliner dans d’autres formes, d’autres dimensions, d’autres décos. 
Voili, voilou : une idée à retenir pour d'autres occasions !

Le roi de la forêt…

Noël pourrait bien arriver demain, je suis parée, je n’ai plus rien à faire.
Enfin, jusqu’à ce que je découvre l’excellentissime idée de Stéphanie dans son article ICI ! Et làààààà, impossible de résister à l'envie impérieuse et incontrôlable de l'imiter, pomper, copier, plagier, singer, reproduire, calquer, pirater... (Bref, de faire tout comme elle, vous l'aurez compris, hi, hi, hi.)
Comme elle, notre maison qui date des années 70 est ceinte d’une affreuse haie de thuyas moches… Nous avons fait poser une palissade sur l’un des côtés, mais il en reste encore sur une belle longueur.
Aucune hésitation : le temps est merveilleusement splendide et la matière première à deux pas !
Je vous montre, mais vraiment, inutile de chercher à améliorer sa création, j’adoooore !
Les branches que je viens de couper au sécateur.
Tout comme elle explique, je dénude la base sur environ 15 cm.
Comme elle, je prépare ainsi une vingtaine de branches : un joli bouquet, lié au fil à coudre, car je n’ai pas de fil nylon et vous comprenez bien l’urgence, hein ?
J’emmaillote les branches, toujours avec du fil à coudre, mais variante... en vert, en partant du haut, selon ses recommandations. Je serre au départ, puis plus lâche pour donner la forme.
J’utilise  des cailloux de verre pour remplir et lester le pot. Quelques mini boules à facettes viendront sur le dessus, pour le côté festif. (J'aurais pu faire un pot lumineux avec une guirlande à leds... J'aurais pu ! )
J’ouvre ma boîte à rubans, ce galon déco "deux en un" va faire l'affaire : guirlande et boules.
Je me contente de tourner autour et voilà, top, fini ! Le soleil étant toujours là, on a bien du mal à croire que dans 4 jours c'est Noël, je l’installe sur le bord de la fenêtre pour la séance photos.
     

Voili, voilou : en 2 temps, trois mouvements, un petit sapin de dernière minute qui pourra aussi parer la table ! 
                     
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