C'est à vous, série 6

Du vrac… mais QUE du beau, de la qualité, toujours aussi chouette !

Bienvenue à Isa : vous la connaissez déjà un peu au travers des recettes faciles, délicieuses, originales et tout, et tout… , mais là c’est dans un autre domaine. Voici sa première custo. 
Que toute la lumière soit faite sur l’info !
Bravo et merci Isa, vivement la suite…

Françoise : qui est passée par ici m’a carrément laissé "copier" les photos de toutes ses créations. Alors là, je peux vous dire que j’ai du stock pour un moment ! Voici quelques uns de ses talents de peintre dévoilés, (que j'appellerai) période bleue…
Yves Klein et son bleu célèbre n'ont qu'à bien se tenir !

Marijo : addict à la broderie et la couture, mais c’est pas moi qui vais le lui reprocher ! 
Pour Marijo, c'est la période "biscornus", j'adore...
... autant que ces adorables petits personnages en feutrine qui surveillent l’accès dans les étages.
Merci les cop's... Que vos doigts continuent à s'agiter pour créer...

A bientôt !

Pêle mêle…

Dans certains de mes messages, je proposais des suites ou des aménagements… Pour qu’il ne soit pas dit que ce sont des paroles en l’air, les voici, les voilà…

Côté cuisine :
Sur le même principe que le lomo, voici le magret de canard séché, après 18 jours passés au frais. Si vous n’avez pas encore essayé, je vous invite à le faire au plus vite, c’est succulent !
Avec cette base, j’avais pensé à un petit bain chocolaté ou une ganache, façon macaron. Voici les deux, je peux vous assurer que les "vrais faux" macarons ganache pistache sont fabuleux !
Dans la famille Mauve, j’ai investi dans des moules. C’était donc bien tentant de retomber en enfance et de réaliser les oursons à la guimauve.  Empreintes peintes au chocolat en deux couches. Guimauve fondue directement dans la poche à douille pour les garnir et re-couche de chocolat. Petit passage au congel, car le démoulage n’est pas facile, mais alors pas facile du tout... beaucoup de casse !
Voici le résultat…

Chocolat noir et au lait.
Dans le domaine du carton :
J’ai réalisé le second miroir pour décorer le mur au dessus de notre lit. Diamètre légèrement inférieur, dessins différents, toujours des petites perles noires collées.
Table de salon : les tiroirs ne sont pas encore terminés, mais tout de même en cours. La preuve !
Bricolos :
Le totem est toujours en place, et pourtant je peux vous assurer qu’il fait un temps immonde (27 avril 2013 : IL NEIGE et ça tient, misère de misère !), avec parfois de forts coups de vents.
Dans la série, et pour faire venir le soleil, j’ai peint ces différents pots pour mes plantes d’intérieur.
En souvenir des margouillats
    rencontrés à La Réunion...
Tout ça pour bien vous montrer que je ne chôme tout de même pas et que j’ai toujours plaisir à vous montrer ce que je fais !
Et puis j'ai trouvé un nouveau "job" pour occuper ma retraite : 
chercheur...
chercheur de lunettes,
chercheur de porte monnaie,
chercheur de clés, 
chercheur de dentier... (enfin, là, pas encore) 
Voili, voilou : c’est tout pour aujourd’hui !

Petit tour de table

Table basse

Nouveau challenge pour mon chez moi…
Notre table de salon commence à avoir un âge certain, pour ne pas dire un certain âge... je l’avais achetée "d’occaz" (fournisseur habituel) il y a bien longtemps. Donc, hop ! 
Bon, hop, c’est vite dit, car il y a du taf : je n’ai jamais fait ce style de meuble avec 4 pieds et un plateau séparé.

Je crayonne mon modèle, fais mon patron et découpe tous mes cartons au cutter.

Je commence par les pieds : (18) traverses numérotées car elles n'ont pas toutes la même hauteur, selon l'endroit où elles sont placées, collées et  kraftées. Puis dessous et côtés extérieurs.
Je donne la largeur de la table avec le carton du bas des tiroirs. Séparation également en carton pour délimiter la profondeur de ceux-ci. Ici, il n'y a plus que le haut de la niche des tiroirs à terminer. Imperméabilisation, enduit et ponçage des parties qui seront inaccessibles après la pose du plateau.
Plateau : je n’utilise pas de carton de récup, car je n’ai pas de morceaux assez grands et ceux qui iraient sont abîmés. Il faut quand même que je fasse  de la "raponce " de morceaux car le plateau mesure 110 x 57, épaisseur de 5 cm. Tout l’intérieur est cloisonné de traverses collées, puis kraftées, avant de coller l' autre face du plateau. Voici l'intérieur du plateau.
Collage du plateau sur les pieds. Tout est ensuite imperméabilisé puis enduit en deux passes.
 Il faut tout poncer, c’est la dernière ligne droite avant la déco.
Dessus du plateau : nous mangeons sur notre table de salon et, j’ai peur, qu’à la longue, malgré le vernis, elle s’abîme vite ! J’achète une plaque de MDF de 6 mm, collée, peinte et "glossée" (effet nacré- marbré, car j’ai tamponné au chiffon, avant que le produit soit totalement sec) et enfin plusieurs couches de vernis.
Je colle une bande de tapisserie "esprit peau de croco", tout le tour du plateau. Vernis également.
La voici presque terminée, il faudra encore que je fasse des tiroirs dont la façade sera gris clair, comme le plateau. J’ai repris les teintes de la vitrine installée non loin de là.
Au total : environ 30 h de travail pour l’instant.
Voili, voilou : je la mets en place, même si les tiroirs ne sont pas finis, commencés, faits !

Il faut se concentrer…

Toasts au concentré de tomates

"Blagounette" de préambule :
Deux tomates veulent traverser la rue.
La première s’élance rapidement, suivie de peu par sa copine. Un véhicule arrive et percute la copine. La première se retourne et lance :
"tu viens Juju ?"   *=D> applaudissement 


Ce n'est sûrement pas la recette originale du concentré de tomates, mais voici quelques idées de toasts avec ce dernier.
Merci à Sophie qui m’a fait goûter. Son papa préparait toujours ces toasts et pour elle, c’est un merveilleux souvenir d’enfance.
Tartiner légèrement des toasts ou de fines tranches de pain, toastées (ou pas, d’ailleurs !) avec du beurre demi-sel (mais pas obligatoirement !). Recouvrir de concentré de tomates.
Je trouve cette base originale, le beurre adoucit l'acidité de la tomate. On peut s'arrêter là (ou pas, d'ailleurs !)
Ou alors, on peut se lâcher, voici quelques "plus" testés :
Une rondelle de fromage de chèvre et du basilic, un filet d’huile d’olive (on fait comme on veut !).
Du thon émietté, une pointe de mayonnaise, du gomasio (c'est vous qui choisissez !).
Une rondelle de concombre, de l’œuf dur émietté, des herbes fraîches (mais c'est pas obligatoire !).
Une tranche de lomo, un peu de compotée d’oignons, quelques alfafas (c'est comme vous voulez !).
Evidemment, cette liste n’est pas exhaustive… Généralement, je regarde ce qu’il y a dans le frigo et trouve toujours de quoi agrémenter ces toasts, mais même sans garniture, c'est bon, quoique un peu moins joli à regarder visuellement avec les yeux...

En fouinant un peu, j’ai aperçu quelques recettes de concentré de tomates maison.
Maintenant que j’ai un jardin, je vais planter des pieds de tomates. Je testerai et vous tiendrai au courant (ou  peut être pas, d’ailleurs !)

Voili, voilou : je vous laisse, ils sont prêts, faut déguster...

Mettre les points sur les "i"...


(holà !)...   MAIS c’est du MAÏS... 

Comme j’ai bien fait d’aller passer quelques jours à Belfort et chez Isa (et Claude), qui m’avait concocté un délicieux dîner ! Merci encore.
Bonheur suprême, c’est Françoise ("THE" costumière du coin des copines) qui passe par ici et je vais pouvoir lui faire goûter (et par la même occasion vous présenter en photos et blabla) la sympathique et délicieuse verrine qu’ Isa avait préparée.

Certes, ce préambule est un peu long, mais j’aime bien situer les choses ! Et, à vrai dire, comme la recette est assez rapide, j’ai un peu peur que cela fasse super rikiki sur mon blog !

Voici les ingrédients… Pour les proportions exactes, RDV plus bas.
Préparer la purée en mixant le maïs et le jus de la boîte, avec citron, huile d'olive, sel et poivre (et/ou piment d' Espelette). La texture que j'ai obtenue étant très grumeleuse, j'ai passé ma préparation au tamis, en écrasant bien pour récupérer le maximum de pulpe. Si votre robot n'est pas trop fainéant, vous pouvez vous passer de cette étape. Voilà le plus gros est fait. 
Reste le "montage" pour la présentation.
Mozarella de bufflonne, bien sûr, car c'est LA vraie, contrairement à celle de vache généralement (vachement) insipide, coupée en morceaux.
Je m'arrête là pour le moment de peur que l'avocat noircisse et les amandes ramollissent. Le reste juste avant de servir. Mais pour vous, cela ne change rien, c'est juste après, maintenant.
C'est l'heure de présenter cette entrée, je dresse le reste : 1/4 à 1/3 d' avocat citronné sur la moza, une pincée de curry, quelques amandes effilées et grillées à sec, une pointe de fleur de sel.
Vient ensuite la purée de maïs (assez liquide, dans mon cas... ) .
Pour terminer, quelques amandes effilées, une bille d'avocat plantée sur un cure dent, et quelques brins de ciboulette, ciselés pour faire joli ! 
Il est temps de passer à table.

Commentaires à chaud pour cette verrine froide : 
Françoise a apprécié les différences textures...
Et même de Chéri, soyons fous : "c'est bon, c'est kouaaa ?"

Voili, voilou : aussi bon que chez Isa, me voilà rassurée ! 


Et, maintenant les proportions bien proportionnées : 

J’ai du pain sur la planche !



Pain à la semoule de blé



Il fait un temps de schtroumpf, pas un poil d’ombre (ni de soleil d'ailleurs, 8° au meilleur de la journée), une grisaille qui dure autant qu’un jour sans pain !

C'est une première et comme je suis bonne pâte je vous livre la recette que j'ai utilisée, mais vous pouvez aller guetter aussi  ici et  et encore ailleurs ! 
Pour éviter d’être dans le pétrin, je sors mon magnifique et superbe robot gris métallisé qui fait tout bien à ma place (cadeau de départ en retraite, merci encore !) et lance la préparation (enfin, pas trop fort, juste les ingrédients dans le bol…).
Pétrissage au robot 6 mn. Je prépare mes portions, et les façonne à la main.

Pour accélérer la levée, envoi dans le four pendant 40 mn réglé sur le mini : 40 °. Ça gonfle, ça gonfle, super ! je laisse encore 30 mn four éteint.
Cuisson 20 mn à 180°. Oups, j’ai oublié de mettre de la semoule sur le dessus, ça reste bien palot.
J’ai hâte de pouvoir en couper un morceau, pour voir l’intérieur. Hop, je casse la croûte pour m’en payer une bonne tranche.
Goût : je pourrais vous en écrire une tartine… la mie est belle, mais je l'ai trouvé un peu fade. La prochaine fois je ferai lever 2 fois et salerai un peu plus. Je vais en congeler une partie pour plus tard et pourquoi pas en faire mon gagne pain !

Voili, voilou : ça doit se vendre comme des petits pains, ha, ha, ha !
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