Tout pour ma pomme !

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Dans mon petit coin de cerveau réservé à la cuisine, j’avais noté depuis très fort longtemps qu’il faudrait bien... un jour... voire un de ces quatre, que je fasse du beurre de fruits. 
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Pour cette première : un kilo de pommes, du beurre et pour la suite, je vous dirai.. ensuite.
Peler et couper les pommes, citronner. Faire cuire sans eau. Les pommes doivent être tendres et s’écraser facilement. Sécher sur feu doux, pour enlever le jus.
Transvaser dans le blender (ou robot) et ajouter le beurre en morceaux.
J’ai pesé et obtenu 825 g de purée au beurre. Très jolie couleur jaune paille, les yeux papillonnent...
       J'ai partagé en 3 et varié en ajoutant : 
     📌 N°1 : miel et extrait de vanille
     📌 N°2 : cassonade, beurre de cacahuètes, cannelle
    📌 N° 3 : sirop d’érable et vanille
Mélanger, mettre en pots et conserver jusqu’à 3 semaines au réfrigérateur.
Les papilles pétillent. Une belle alternative entre compote et confiture, pour les tartines du matin, dans un yaourt, ou tout simplement à la cuillère. J’ai un petit faible pour celui au sirop d’érable, mais les deux autres sont tout aussi délicieux.
Je n’ai pas eu le temps de vérifier sa longévité dans le frigo. En petite verrine de compote gourmande, c’ est parti à toute allure, d’autant qu’il nous FALLAIT goûter les différentes versions.
Pour être total vegan, deuxième fournée en remplaçant le beurre par de l’huile de coco. Sirop d’érable et vanille, WAOUH, c’est une tuerie, ça déchiiire !
On peut congeler sans problème. La stérilisation est possible, dans l’idée de pouvoir en faire un cadeau gourmand. Et toc, la preuve par 9.
Le beurre de pomme stérilisé a pris une teinte un peu plus soutenue. Intriguée et légèrement inquiète, j’ouvre un pot pour goûter… et respirer," tout va bien", pas de soucis gustatif suite à la stérilisation.
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Voili, voilou : avec la Chandeleur qui s'annonce incessamment sous peu, voici une garniture de crêpes tout à fait idéale.
A vos casseroles !
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Danseuse étoile...

ÉCHAUFFEMENT 

Dans ma caisse à fils de fer, scoubidou et autres, j’ai quelques petites encablures de fil électrique d’un somptueux violet. C’est récup, sa généreuse donatrice le reconnaîtra. J’ai aussi du fil argenté, fin et souple. 
Par contre, jusqu’alors, je ne savais vraiment pas quoi en faire. Je commence à l’entourer sur le fil violet et trouve l’effet pas mal.
J’emberlificote les extrémités pour former d’un côté une boucle et de l’autre un crochet...
... pour ainsi former un sublime tour de cou, on ne peut plus original.
Sur ma lancée et après avoir trouvé un petit fermoir à vis, je recommence l’opération avec en plus un fil de scoubidou.
👉 Ce n’était cependant pas pour cela que j’avais sorti ma caisse de fils.

PREMIER ESSAI 

Je mesure à la louche, environ 1,2 m de fil de fer noir fin. Plié en deux et entouré autour du pouce pour former la tête.
Entortillement pour le cou, puis, je forme les bras, termine le buste et fais les jambes. J’essaie qu’il soit à peu près bien proportionné.
Pour donner un peu de volume, quelques boulettes de scotch, puis je recouvre entièrement mon bonhomme de scotch de masquage.
Reste à lui trouver une petite place. Là, c’est parfait, avec juste un peu de patafix sous les pieds pour l'aider à tenir debout. 
Et maintenant les choses sérieuses :

LA DANSEUSE

Même longueur de fil et même procédé. Je resserre la taille et laisse de très longues jambes. J’utilise des bandes de mouchoir en papier (aspect plus doux et blanc) pour recouvrir le corps et les membres. Juste un point de colle.
Coiffure : environ 35 cm (joliment ?) installé en chignon choucroute avec une belle anglaise formée sur une aiguille à laine.
J’épluche les trois épaisseurs d’un mouchoir en papier, perce un petit trou au centre et lui passe sa jupe. Du fil à coudre blanc permet de la maintenir. 
Une fleur à la taille : fil à coudre et colle chaude pour la fixer.
Pour terminer, quelques nœuds en cordonnet rouge : chaussons et cheveux. Là encore un point de colle. Comme elle ne tient pas debout toute seule, pistolet devant cette feuille déco en bois.
Je froufroute son tutu…
Voili, voilou : on se croirait dans les coulisses de l’opéra.
D'autres créations en fil de fer, c'est par ici ou par pour des bijoux : bracelets et collier arachnéen !
Et, la toile d'araignée déco (ICI)

InsoliTe, inédiTe et délicieuSe…

Ou comment mettre du soleil dans nos assiettes au mois de janvier.

En feuilletant une revue (Notre Temps de février), je suis tombée sur une déclinaison de plats autour du pruneau. 
En lisant les recettes, j’ai trouvé un mélange pruneaux olives que j'ai testé et que je m’empresse de vous faire partager.

J’ai des pruneaux… des olives… du citron… et de l’huile d’olive : PARFAIT, il n'en faut pas plus. Proportions à la fin.
Tout passe au mini robot en purée fine. J’ai simplement ajouté une pincée de sel. Voilà, c’est fini !
Pour présenter et SURTOUT déguster :
J’ai profité que nous étions samedi pour filer au marché de Montbrison, certes un peu loin (30 km), mais où je n’étais jamais allée et nommé fort à propos "plus beau marché de France 2019",  et acheter de petits fromages de chèvre fermiers, fondants et crémeux à souhait.
Une tranche de pain maison aux graines, trèèèès légèrement toastée, largement tartinée de tapenade.
Déposer une belle lamelle de fromage sur les toasts. Pour terminer, saupoudrer de pistaches torréfiées et grossièrement concassées.


Verdict après comparution immédiate: 
Nous avons été 4 à goûter et à apprécier, c’est donc une réussite, je vous invite à tester.


Sitôt dit, sitôt fait…
Pas besoin de beaucoup extrapoler pour en présenter avec le plateau à fromages. Tomme de chèvre et pour les amateurs, bière locale.
Voili, voilou : je ne vous dis pas à quel moment du repas nous avons dégusté ces toasts apéritifs, j’aurais bien trop peur de passer pour une alcoolique.

Pour terminer sur un VIRELANGUE, je vous propose de vous entraîner à dire rapidement et plusieurs fois "pruneau cuit, pruneau cru". Et comme je suis la discrétion en personne,  même pas je vous demande combien de fois vous l’aurez prononcé sans que votre langue fourche.


C’est fini !


Etant donné que nous sommes le 16 janvier, le moment est venu de donner la solution au petit jeu,  "Mais pourquoi ce titre ? Trouvez le lien..." proposé dans l'article : CLIN D’ŒIL… et complété par "J-5"

En fait, en écrivant l’article concerné, je m'étais aperçue que c’était l’ultime et  90ème de l’année.
"90", c’est aussi le numéro du département où je suis née et ai habité pendant quelques décennies.
SIMPLE, NON ?
Et maintenant qui a gagné ?
Je pourrais vous faire la version Pinocchio, en vous disant que je n’ai pas encore épluché toute les réponses et que  j’ai plusieurs gagnantes potentiellement sur le podium.
La réalité est beaucoup moins rose, à mon grand dam, j’ose à peine le dire : 4 participations sur les presque 200 visites.

Malgré tout, UNE gagnante dont j’ai reçu le commentaire  le 10 janvier, publié ce jour.

BRAVO TIC tics

Nous conversons régulièrement, sans nous connaître. J’adore son blog et de plus, c’est elle qui m’a fait connaître Dominos, alors encore merci ! Comme annoncé, tu peux choisir ton petit présent, redis-moi. 

Voili, voilou : gros FLOP donc, mais ce n'est pas pour autant que je ne vous re-proposerai pas un autre petit jeu... foi de Marietouzazim ! 

Mais où va-t-on ??

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"Seulement le quatrième article de l'année, dont deux ne sont d'ailleurs même pas des articles, et déjà en panne d'inspiration pour le titre ! Ça craint pour la suite, il faut que je me ressaisisse."  
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A l’instar de Linda de Suza (certaines d’entre vous ne la connaissent peut-être pas), j’ai aussi une valiZ…ette en carton, à relooker pour Ambre. C’est vrai qu’actuellement, elle n’est pas terrible.
J’ai quelques jours devant moi pour l’exercice et quasi carte blanche, je vous dirai au fur et à mesure. Je commence par la démonter entièrement, y compris les coutures qui vont me gêner pour la suite.
Du coup, colle et kraft pour remettre les morceaux en place. 
A l’extérieur, du tissu, colle vinylique (colle à bois) légèrement diluée.
A l’intérieur, de la tapisserie, même colle : 
Ce matin, je suis allée en ressourcerie et j’ai trouvé une magnifique ceinture rouge, du plus bel effet pour le couvercle. Plutôt que de recouvrir la poignée (j’ai essayé, ce n’était pas beau), je l’ai complètement changée.
J’ai récupéré les bonbons déco de la veilleuse, et je les ai remplacés par des pompons blancs tout doux. Ce n’est pas bien grave, puisque c’est Ambre qui l’a adoptée. 
Premier impératif : la licorne en paillettes sur le dessus (récup d’un vêtement). Je recoupe tout le tour à raz et colle au pistolet.
Des pieds en coccinelles ou en boutons pour préserver un peu le tissu.
A l’intérieur, deuxième impératif, une pochette pour glisser les autocollants. Pour terminer, une mini ardoise identité avec téléphone au cas où. Vous comprendrez que je ne la montre pas par ici.
Faut tout de même que je vous éclaire sur l’usage de cette JOLIE mallette : petits trésors, de quoi dessiner, quelques jouets pour passer le temps au restaurant par exemple, c'est parfois long pour une demoiselle de pas encore tout à fait mais presque bientôt 4 ans ! 
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J’avais aussi un malade. Trop près d'une ampoule... il s'est fait griller les deux pattes arrière.  
« Mamie, tu peux lui mettre un pansement ? »
J’étais un peu embêtée, ne sachant pas trop comment procéder. Toujours dans la ressourcerie, j’ai trouvé un body pour 20 centimes dont le bas des manches est parfait pour une paire de chaussettes. Une couture zigzag, pour fermer le bas et j’ai cousu ensuite à la main. 
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Et puis premier (PETIT) délire de l’année, un caillou emballé d’une chaussette orpheline.
Custo au pistolet à colle. Je vais bientôt pouvoir jouer au petit Poucet pour familiariser Chéri avec la topologie de la maison et plus spécifiquement la cuisine.
Voili, voilou : je me dépêche de faire table nette pour le re-passage (et non pas le repassage) d’Ambre et ses parents.
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