Trié sur le volet…


Je ne sais pas si Annie aime les sucettes à l’anis, mais elle m’a très gentiment proposé de venir fureter dans les meubles et objets dont elle voulait se défaire. Et là, véritable coup de cœur pour ce volet, surtout avec sa "so" si adorable ouverture.
Je ne pouvais QUE craquer. 
Ni une, ni deux, nous l’avons chargé dans ma voiture. 
Graaaannnd merci Annie !
Je ne pensais pas m’en occuper si vite, mais le temps est encore tellement doux, que je peux m’installer dehors pour poncer.
D’abord la ponceuse électrique, puis à la main. Pour terminer, quelques gratouillis au cutter ou au scalpel. Je ne veux surtout pas le poncer à blanc, pour lui garder son côté authentique.
Pour un effet délavé, je prépare un jus de peinture avec de l’acrylique. Par endroit, je passe deux couches, histoire d’intensifier un peu la couleur.
Je laisse sécher et passe du papier n° 400. Une vraie douceur.
Reste à cirer pour un lustre discret.
Pour l’autre côté, j’ai simplement poncé pour enlever tout ce qui voulait partir.
Je l’installe sous la véranda, c’est fini.



Voili, voilou : à peine une semaine entre la découverte et la pose. 
Waouh, je m’étonne moi-même.

Graffitibouillage…


Lorsque  j’avais décousu les 66 boutons de mon manteau, j’en avais collé quelques-uns au pistolet sur un petit miroir carré de chez Ikéa  (modèle MALMA, 26 cm de côté, investissement de foldingue à 1,5€)
Je m’étais toujours dit que je compléterais avec des dessins graphismes dont moi seule ai le secret. Dans mon esprit un peu comme ici.
Et puis, le temps a passé et je découvre que cela fait plus de trois ans que je vais "bientôt" terminer cette custo… Deux boutons se sont décollés, probablement un signe du destin.
Un peu de temps devant moi, mais pas trop : condition idéale pour cette activité. Je commence par tester mes stylos à encre gel sur l’arrière pour voir le rendu. Cela me convient, mais le blanc ne fonctionne plus. Ce sera donc motifs "argent".
On pourrait croire qu’avec l’âge, on atteint une sorte de MAturI dans l’exercice du trait… Hébé, en tout cas, pas chez moi. Je suis toujours aussi limitée !
Mais qu’importe, j’y mets tout mon cœur.
Sans prétention, à la portée de tous, mais unique !
Voili, voilou : il réintègre sa place dans la salle de bain. (où personne, à part moi, ne s'était aperçu de sa disparition)

Battue à plate couture…


Tout a commencé un bel après-midi d'automne parce que je voulais recouvrir les dossiers de ces fauteuils. Les voilà avant. Avec le temps, le blanc immaculé est devenu pisseux ocre.
J’ai recouvert avec de la toile à matelas et une ancienne nappe (ancienne n’est pas tout à fait le mot, PASKE je ne l’ai mise qu’une fois, mais comme il faut la repasser, elle a passé largement plus de temps dans la panière qu’à être utilisée)
Comme il me restait une belle bande de toile à matelas, j’ai opté pour la réalisation d’un rideau, environ 60 cm de large. On retrouve de la nappe pour passer la tringle, car pas assez de hauteur de toile.
Comme il me restait encore un peu de toile, j’ai cousu une housse pour ce petit coussin, CORé (vous jugerez par vous-même, si le terme est bien choisi), d’un morceau de tissu  (reste d’ici et  ou encore ) cousu à grands points au coton mouliné vert.
Comme, il me restait encore un chouya de toile,  un cale porte dont je n’ai nullement besoin, qui vient parfaire la déco de la véranda.
Un œillet festonné à la main du même coton mouliné que le coussin.
(Waouh, quelle harmonie de DINGUE… !)

Il me reste une once de toile à matelas et de nappe que je garde bien évidemment précieusement.
N.B. : les assises de fauteuils ne sont pas de moi, le chat y trouve son aise.

*** Pendant que j’y suis (la machine sortie, des fils plein partout, et du vent à décorner les coccus qui n’invite pas à aller dehors), je personnalise un pull acheté en vide grenier, 50 cts.
Pour info, le jersey blanc à pois provient d’une chemise de nuit que j’ai raccourcie pour une copine. Le cœur est un morceau de tee shirt.
J’ai coupé les glands sur un porte clés ( comme celui du sac ). J’ai terminé par quelques boutons et des enfilages de perles rocaille sur des épingles de sureté, comme ici. Déco d'encolure : 
Vue d'ensemble...

*** Deux nouveaux bavoirs pour Helena…  Celui que j’avais cousu est un peu juste. J'ai modifié le patron. Je n’ai utilisé que du coton enduit.
*** Et puis, histoire de m’amuser un peu et terminer ma phase couture du moment, je vous propose un mignon petit...
💗Un patron : bien grand mot pour ce simple morceau de papier légèrement arrondi d’un côté.
💗Ensuite une bande de tissu cousu d’un côté.
💗Ensuite je couds en laissant une petite ouverture sur le dessus.
💗Ensuite je réalise une couture pour donner de l’épaisseur et créer un fond.
💗Ensuite, je remplis de lavande du jardin. Je peux vous dire que ça embaume.
💗Ensuite, je ferme la petite ouverture, je rabiote au passage l'arrondi du patron...
💗Ensuite je prépare deux longueurs de ruban que j’épingle comme ça… Ça commence à ressembler à quelque chose.
💗Pour terminer, un mini pompon et un bouton pour décorer.
Voilà un croquignolet sac à accrocher dans les armoires ou à poser en déco. En VRAI, j'en ai cousu 2. 
Le second avec les chouettes étant en réalité le premier, mais trop occupée par la couture, je n'ai réalisé aucune photo "pendant" ! 
Voili, voilou : reste à débarrasser fissa la table (de la salle à manger), car nous avons des invités demain ce soir. Ce serait ballot de devoir manger sur nos genoux.

Civilisations anciennes…


Après les Incas et les Aztèques, je vous propose de découvrir les Mayas. 
Tout commence avec Maya l’Abeille, reine de cette civilisation ancienne.

La branche mère se divise, quelques millénaires plus tard, en sous familles dont voici la genèse, chacune à base de MIEL, origine oblige.
MAYA NOISETTES : miel de Maya et noisettes du jardin.
📌D'abord, elles sont torréfiées à sec à la poêle, pendant 10 mn environ.
📌Une fois refroidies, passées au robot en poudre grossière, puis par petites quantités au moulin à café.
J’obtiens déjà une pâte assez collante.

📌Je reverse dans le grand robot, puis mixe plusieurs fois, par plages d’environ 30 secondes, jusqu’à obtenir une texture pâteuse, fine et lisse.

📌J’ai ajouté ¾ du poids des noisettes en miel bio liquide, 1 CS d’huile de noisette et "LA" poupougnette de vanille incontournable !

📌La préparation étant très épaisse, j’ai allongé ma préparation d’eau bouillie, jusqu’à ce que la consistance me convienne. C'est le miel des écureuils que je vous avais présenté ICI, en version noix.

Pour s'approcher d'une fameuse célèbre pâte à tartiner au chocolat, on peut ajouter de la poudre de cacao non sucré, mais je n'ai pas testé !

MAY'AMANDES (et pistaches)
Même procédé, mais avec des amandes et des pistaches (3/4, ¼).
J’ai râpé un peu de fève tonka et ajouté quelques gouttes d’amande amère.
Délicieux aussi avec uniquement des amandes.

MAYA CAHUÈTES
Là, ce fut plus rapide, car j’avais du beurre de cacahuètes.
Toujours (environ) les mêmes proportions : ¾ du poids du beurre de cacahuètes en miel. J’ai ajouté de la cannelle, de la vanille et 3 gouttes d’HE de citron.

Je peux vous dire que ça vaut le détour, mais, c’est très riche, faut pas se leurrer ! A consommer avec Parcimonie... ou qui vous voulez, d'ailleurs !!
Voili, voilou : sur des tartines, ou à l’instant même avec de la compote de pommes maison, c’est super drôlement bien bon !
Une idée à MOA, qui vaut, EVIDEMMENT, son pesant de cacahuètes.:
1 CS de beurre de cacahuètes dans la vinaigrette. Pas mal ai-je entendu susurrer à table... 
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