Hagard… vous avez dit agar ???

Monsieur et Madame ont un fils...
Harry...

Bonbons gélifiés maison à
-  l’agar agar,  
-  la gélatine.


Premier essai avec de la gélatine… FLOP ! 
Préparation :
Tremper la gélatine dans de l’eau froide. La presser et la dissoudre dans l’eau chaude. Ajouter le sirop (violette, c’est tout ce que j’ai !)
Verser dans les moules. Laisser prendre au moins 3 H .
Démoulage : j’ai bien du mal, faible mot, pour démouler mes petits amas de gélatine. Je n’arrive à sauver que 3 crocos. Misère de misère, alors que cela semblait siiiii facile !
A vrai dire, il aurait peut être fallu que j’huile un peu les moules avant de verser la préparation, recommandation lue après, bien sûr !
Je passe dans le sucre et laisse sécher…
Malgré "le peu présentable" évident, le goût est là…
La consistance est un peu molle, mais je m’ aperçois en écrivant cet article que j’ai doublé les proportions d’eau et de sirop, mais pas de gélatine (BRAVO, Marie la nullos !!)

Deuxième tentative : à l’agar agar, cette fois ci
Je mets toutes les chances de mon côté…, huile les moules (très peu, avec le doigt, c’est parfait) et respecte les proportions.
Préparation :
Je délaye 3 g d’agar agar dans 250 ml de jus de fruits épais (ici poires) et une poupougnette d’arôme citron. Chauffer en remuant et laisser frémir 2 mn.
Je remplis mes empreintes à la seringue, bien pratique ! Je laisse prendre à température ambiante, environ 2 H.
Démoulage : impec !
Aspect : regardez donc… Voici l'équipe JAUNE
Goût : ben de poires, évidemment ! Seul bémol la consistance, que je trouve un  peu ferme…

Dernier re-essai : gélatine encore… ET REFLOP ! 
Préparation :
250 ml de sirop de violette, colorant rouge, 1/2 CC d’arôme cassis et 1/2 CC d’arôme fraise. 6 feuilles de gélatine ramollies dans l’eau froide, et dissoutes avec 3 CS d’eau au micro-ondes, 30 s.  Je mélange avec le sirop.
J'ai une belle panoplie d'arômes...
Comme avec l’agar agar, moules huilés et seringue. J'ai l'embarras du choix dans les moules. Je laisse prendre 3 H 5 H, 12 H...
Démoulage : difficile, c'est le moins que je puisse dire, ça colle, c'est tout mou. c'est incroyable, on dirait de la gélatine, aïe, aïe, aïe ! Je les passe tout de suite dans le sucre... voici l'équipe ROUGE.
Aspect : visuel quasi aussi chimique que  ceux du commerce, en un peu moins rouge peut être…
Goût : très sympa, même si on ne sent plus vraiment la violette.
Texture : gélatineuse et fondante, comme je vous disais ! Mais aussi mous et collants...
CONCLUSION : Il y a parfois des jours où ça va moins bien que d'autres, aujourd'hui en est un... Bon, c'est pas un flop complet, mais c'est loin d'être convaincant. 
Voili, voilou : je recommencerai... : un jour je l'aurai !

Siège éjectable

Sophie la chipie… 

Une grande aventure !  


Elle se doutait que j’allais craquer, vous auriez eu la même attitude…
MAIS, c’était tout ou rien (quand j’vous disais chipie !) : banquette croquignolette  ET 2 fauteuils.
ET BIEN SÛR... le tout à Belfort, donc déjà à transporter jusqu’ici. J’ai rapporté les fauteuils lors de mon dernier voyage.
L’un est maintenant chez ma maîtresse céramiste. Je vais customiser le 2ème pour Anaïs, la fille de Sophie, et il repartira sur Belfort vivre une seconde vie.

Démontage de l'ancienne garniture : toujours ces clous tapissier dont j’ai horreur, cloués un à un. Je n’ai pas compté, mais pesé : 500 g tout de même !
Je prends aussi des photos et quelques notes pour la suite.
Je garde les morceaux pour m’en faire une robe comme patron pour la suite.

Après les clous tapissiers, ce sont les pointes et agrafes. Le voilà presque tout nu.
Ponçage : surtout pour enlever le vernis et permettre une bonne accroche de la peinture : un peu de ponceuse, BEAUCOUP à la main. Quelques touches de pâte à bois. 
Comme j’ai peur que les tanins ressortent même avec plusieurs couches, je décide de peindre en noir. (2 couches)
Je commence l’habillage : des pois et des rayures… De quoi donner pimpant et peps à ce fauteuil un peu ringard.
Le travail commence et c’est l’agrafeuse qui me prête main forte…
Beaucoup de déboires avec celle qui parlait à l'oreille des chevaux n'en fait qu'à sa tête, évidemment, surtout dans les endroits difficiles d'accès : 
     - aucune agrafe ne sort...
    - plusieurs en même temps (jusqu’à 5)...
    - complètement de travers…
Oups, inutile de vous mentir, je me suis égarée verbalement et Chéri est, hélas, témoin de ces écarts de langage…

Je passe un temps fou à extraire les agrafes mal posées. En désespoir de cause, j'achète des pointes tapissier et termine avec. Je ne suis pas toujours très à l'aise avec un marteau, mais j'ai tellement galéré avec les agrafes que c'est le vrai bonheur.
Le dos sera à rayures…l’assise à pois. Je fais une nouvelle housse pour l'énormissime coussin de plumes : un côté à pois, un côté à rayures. Quant aux accoudoirs, j’ai décidé d’en recouvrir un avec chacun des tissus…
Bien du mal aussi à trouver un galon pas trop cher (il en faut 10 mètres). J’aurais préféré un peu plus large. Je le colle au pistolet.
Bon an mal an, j’arrive à terminer, mais je suis calmée pour un loooonnng moment dans la réfection de fauteuil… (même pas je mets un "s" à fauteuil, tellement j’en ai bavé... La banquette, j'oublie !!)




Je termine en changeant la toile en dessous, drap en lin de récup. Merci Mère Grand ! 





Voili, voilou : terminé, fini… 

Un jardin extraordinaire...

Pour vous détendre, écoutez donc un peu CECI...
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Dans POTERIE, il y a pot… et "terie" aussi…, mais c’est le "pot" qui m’intéresse, car cela me fait penser à pot de fleurs, donc à fleurs.
(Que de méandres tarabiscotés pour vous présenter quelques petites décos de jardin en terre !…)
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Des modelages  simples : quelques fleurs et champignons… La cuisson biscuit est faite à l’atelier comme à l’accoutumé.
C’est à la maison que je vais les peindre à l’acrylique, en poupougnant mes pinceaux dans le rouge, le bleu, le rose, le jaune ou l’orange…
Je m’essaye aux gouttes de vernis à ongles dans le cœur des fleurs… 2 couches de vernis mat.
Reste à ficher mes (Ben voui, depuis que l'adorable et charmante Claudine me les a données... c'est les miennes, hein ?) tiges à coups de marteau dans le massif et poser les corolles., Les champignons sont simplement posés… Et Naaan, je ne ferai pas de nain de jardin… 
            
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Voili, voilou : Il faudra que j’étoffe un peu, mais pour cette année, c’est tout !
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Une CHINEUSE sachant CHINER sans son CHIEN est une bonne CHINEUSE...

* Mi avril, premier vide grenier à quelques kilomètres d'ici, avec un radieux soleil de printemps…
* Des cabas vides sous le bras, de la mitraille dans mon porte monnaie, j'aurais presque pu mettre mes belles baskets... (étonnamment, je n'y ai pas pensé)
Prête à tout, quoi ! 

* Je ne cherche rien de particulier et prend le temps de musarder aux différents étals…
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Presque  à la fin, alors que mon cabas de sous le bras commence à être rempli, je vois... enfin d’abord j'aperçois, puis entrevois cet objet, un rien rétro, même la couleur m’attire d’emblée.
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Petite table carrément rectangulaire…
Je m’approche, et demande le prix : 1€. Je ne marchande même pas ! Cette fois ci me voilà bien chargée pour retourner à ma voiture.
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Urgentissime, dès le lendemain, je commence le ponçage. L’occasion de tester mon nouveau décapeur thermique (y’a pas de mal à se faire de petits cadeaux de temps en temps). La peinture part en lambeaux, et c’est plus facile avec une  raclette et la ponceuse électrique (Ma voisine doit bénir l’hiver où je fais moins de travaux à l’extérieur… )
Le bas part en schtroumpf… je l’enlève complètement, retire les clous. 
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A vrai dire, j’ai été prise un peu au dépourvu, ne pensant pas du tout faire cette acquisition, et donc pas d’idée de l’endroit où je vais la poser, ce qui induit un peu la suite !
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Il faut laisser du temps au temps… C’est ce que j’ai fait. J’ai testé ma bientôt "sûrement magnifique sellette- table" à différents endroits et je lui ai trouvé une… non, mieux, SA place.
Je  commence donc la peinture en "bi-tons", comme la table et la vitrine.
Toujours 2 couches, car le bois boit !
J' esquisse et peins quelques cœurs rappelant ceux de la vitrine.
Savez vous planter les choux  clous ? Moi oui ! Merci à Claudine qui m'a dépannée, car je n'en avais pas d'assez longs. Le socle est soclé... la boucle est bouclée...
Aussitôt terminé, aussitôt mis en place...

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Voili, voilou : une belle acquisition indispensable, n'est il pas ?
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