Mais pour moi, ça veut
dire beaucoup... Michel Berger, France Gall
Ça veut dire qu’il faut
que j’en mette un coup…
Sinon, Paul aura mal aux
genoux…
Et, ça, c’est pas bon du
tout...
MOI pour mon Blog
MOI pour mon Blog
A vrai dire, je croyais y
échapper. Ben voui, les copains habitent Belfort et comme moi, maintenant, j’y
suis plus…
Mais, (car il y a un
mais), lors de mes dernières vacances, le sujet est revenu
sur le tapis et donc je l’ai chargé dans ma voiture (j'avais pas la kalachnikov sur la tempe, non plus)…
Voici l’objet :
Je commence par un décapage "chimique" pour le plus gros, car avec ces
jolis pieds pleins de creux, de bosses et de rondeurs, impossible de passer la ponceuse.
J’en aurai toujours assez à faire à la main.
Je l’ai déjà fait pour un autre meuble. Rinçage au jet. Séchage au soleil : ça tombe bien, y'en a ! Il faut poncer pour enlever au maximum la peinture. Gros grains, moyens grains, grains fins. Voilà le résultat, c'est déjà mieux, mais pas de miracle...
Quelques petites raponces de pâte à bois sur le socle.
L'heure de la sous couche arrive. Je prépare petit rouleau et pinceau et commence mon "barbouillage", 24 h de séchage. Jusque là, tout va bien.
Je profite de cette inaction relative pour aller choisir les peintures, avec mon petit échantillon de toile pour l'assise. J'espère que mon choix conviendra aux propriétaires, car je voudrais bien que nous restions amis (hi, hi, hi !).
Je démonte l'assise que je vais changer aussi. Un clou tous les 5 mm, ça fait un bon paquet.
Mauvaise surprise : elle est complètement fendue, donc collage et pièces de maintien en dessous.
Comme je viens d'essayer un nouvel effet, je décide (avec l'aval des propriétaires) de faire la même chose.
Donc une première couche d'une couleur :
La deuxième, plus claire...
Et le ponçage (papier 180 et 220) pour finir. Enfin pour finir (qu'elle croyait, la naïve !!), pas du tout, car c'est très très moche et je décide de recommencer une couche de la première couleur et cette fois, travail àl'éponge, au chiffon, au sac plastique avec la deuxième couleur.
Et puis, reste l'assise. Le principe je connais, y'a plus ka. Un nouveau molleton pour le fondement du pianiste, la toile bâchette agrafée tout autour (facile avec l'agrafeuse électrique, cadeau de moi-même pour moi), un galon fait maison avec le même tissu et collé pour cacher tout ça.
L'assise rejoint le socle, y'a plus qu'à admirer.
Quelques petites raponces de pâte à bois sur le socle.
L'heure de la sous couche arrive. Je prépare petit rouleau et pinceau et commence mon "barbouillage", 24 h de séchage. Jusque là, tout va bien.
Je profite de cette inaction relative pour aller choisir les peintures, avec mon petit échantillon de toile pour l'assise. J'espère que mon choix conviendra aux propriétaires, car je voudrais bien que nous restions amis (hi, hi, hi !).
Je démonte l'assise que je vais changer aussi. Un clou tous les 5 mm, ça fait un bon paquet.
Mauvaise surprise : elle est complètement fendue, donc collage et pièces de maintien en dessous.
Comme je viens d'essayer un nouvel effet, je décide (avec l'aval des propriétaires) de faire la même chose.
Donc une première couche d'une couleur :
La deuxième, plus claire...
Et le ponçage (papier 180 et 220) pour finir. Enfin pour finir (qu'elle croyait, la naïve !!), pas du tout, car c'est très très moche et je décide de recommencer une couche de la première couleur et cette fois, travail à
Et puis, reste l'assise. Le principe je connais, y'a plus ka. Un nouveau molleton pour le fondement du pianiste, la toile bâchette agrafée tout autour (facile avec l'agrafeuse électrique, cadeau de moi-même pour moi), un galon fait maison avec le même tissu et collé pour cacher tout ça.
L'assise rejoint le socle, y'a plus qu'à admirer.
"Je ne crois pas au génie,
seulement au dur travail." (Michel Pettruciani)
sublime !!!
RépondreSupprimerJe dis fabuleux ... je dirais même plus que fabuleux et j'en reste toujours coite quand je vois ce que tu peux faire avec une ponceuse, des bouts de ficelle, de l'huile de coude et du bon goût. Bravissimo!
RépondreSupprimerAh ben ça fera de la place dans le garage ! Quelques heures de travail tout de même, pour un beau résultat.
RépondreSupprimer" Dis, c'est quand que tu fais rien ? Ça t'arrive de flemmarder sur un de tes fauteuils ? De lire un people (on est en vacances)? De faire une sieste à côté de tes fraisiers et de parler à tes tomates? Tu me fatigues !!!! Tu comprends pourquoi je n'aurai jamais de blog à moi! "
RépondreSupprimerLe tabouret du piano est magnifique, je le préfère quand même avec la première couleur...bois.
wow, bravo le tabouret! tu passes au piano après? haha! pour le decapage, tu connais la recette aux cristaux de soude? génial pour les vernis anciens. j'ai trouvé ça sur esprit cabane et je m'en sert tout le temps, c qd meme moins nocif pour la bricoleuse!
RépondreSupprimerSuperbe travail et reportage très réussis TOP !!
RépondreSupprimerMerci "Mario doigts de fée" d'avoir fait de notre tabouret une star du blog !
RépondreSupprimerOn va avoir du mal à s'asseoir dessus maintenant !
Du coup, on va peut être continuer à jouer du piano à genoux !
Ou .......
Se mettre à jouer du pipeau (mais c'est moins classe le pipeau !!)