Vous prendrez bien un petit rafraîchissement ?

Une petite glace vous ferait plaisir ? 

J’ai ce qu’il vous faut…

Le petit rafraîchissement est là : 29 octobre, fraîcheur et grisaille au menu météo du jour…
La petite glace : " j’ai ", avec cette porte d’armoire dont j’adore le fronton fleuri.
Par contre, quelques petites boursouflures et par endroits, le plaquage a disparu. Je nettoie et colmate à la pâte à bois pour rattraper l’épaisseur du plaquage. Ponçage.
Pour bien faire ressortir le très joli décor, je ne vais peindre que le tour… Scotch de masquage pour délimiter les zones.
Première couche de peinture, teinte vanille, patouillée avec une ombre de beige. (une coïncidence/clin d’œil qui me plaît : peindre avec de "la vanille")
Comme d’habitude un ponçage en 400 en interlude. Deuxième couche : vanille, poupougnage au sac plastique en beige. A nouveau ponçage, avec la main légère. Couche de finition : de la cire partout.
Pour ne pas déroger à mes habitudes, un truc accroché à la clé.
Et voici encore un coin de la maison qui commence à s'harmoniser.(retrouvez la commode, ICI

J'ai toujours mon magnifique bois flotté dans le coin.

Voili, voilou : Ce sera parfait quand j'aurai installé le... que je suis en train de relooker. (très bientôt par ici !)

Personnage mystérieux...


Vous avez sûrement déjà entendu parler de l’homme invisible, à défaut de l'avoir vu, hi, hi, hi ! 
Eh bien, figurez-vous que j’ai découvert dernièrement quel était son dessert préféré. Et vous ne serez probablement pas très surpris de découvrir que c’est bien sûr...
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 le GÂTEAU INVISIBLE

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Pour bien comprendre :
Le gâteau invisible est si riche en fruits, qu’on devine à peine la pâte… d’où son nom. J’ai vu, de mes yeux vus, de nombreuses recettes ici ou par exemple.
Déjà les ingrédients, je vous précise les proportions plus bas.
Je prépare la pâte au robot. Les œufs et le sucre, une pincée de sel.
J’ajoute le beurre fondu et le lait. Je termine par la farine additionnée de la levure et la cannelle. Je parfume au rhum/vanille. C’est prêt.
Je prépare mon moule en le beurrant. J’épluche les pommes et les passe au robot-éminceur, directement dans le moule.
Je verse la pâte et j’enfourne.
Pendant la cuisson, je prépare un caramel au beurre salé, comme le salidouLe voici à la sortie du four. OUPS ! pas vraiment facile à démouler.
Et tout de même sur assiette, le goût est là...
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Par esprit de TRANSPARENCE et pour vous dire la vérité vraie : ce n’est pas mon premier essai.
La première fois, dans ma précipitation, j’ai tout bonnement oublié la farine. C’était bon, mais extrêmement bizarrement, mon gâteau ne se tenait pas du tout. J’aurais bien voulu INCRIMINER ma copine de ne pas m’avoir donné la recette complète, mais en relisant son mail, il y avait bien écrit FARINE… Méa culpa.
Pour mon 2ème essai, j’avais utilisé un moule à cake. C’était plus joli, avec les lamelles de pommes bien empilées. Et j’avais pu démouler.
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Donc, pour conclure sur le sujet :
Ne pas oublier la farine, ni même un autre ingrédient…
Plutôt dans un moule à cake beurré ou garni d’un papier sulfurisé pour ne pas avoir de souci au démoulage. (à l’occasion, je tenterai dans un bocal de petite contenance, genre "Le parfait")
Voili, voilou : c’est l’heure du goûter, et comme "on" ne parle pas la bouche pleine, je vous laisse !

Origami…

Dans la série "STOP aux déchets", voici un petit pliage TRÈS rapide, TRÈS facile et surtout TRÈS utile pour remplacer au moins quelques-uns des sacs en plastiques dont NOUS (je me mets aussi dans le lot) abusons sans aucun doute !
... L'affaire est dans le sac ... 
avec ce SAC POUBELLE, idéal pour la salle de bain

Comme je ne suis ni Géo Trouvetou, ni Mc Gyver, c'est sur le net que j'ai repéré l'idée, comme ici.

Matériel réduit, pas besoin de ciseaux, ni de colle, ni de mesurer quoi que ce soit !
Une feuille de papier journal, ouverte en grand... Je rabats la pointe en bas à droite sur le haut du journal. Il reste une bande...
à rabattre sur l'arrière...
Je tourne le pliage...
On aperçoit un triangle en bas, simplement à plier sur le devant.
Plier chaque pointe de la base du triangle...
Pour former le haut du sac, rabattre la pointe supérieure vers le bas. Retourner et procéder de la même façon pour l'autre côté.

Ouvrir… C’est fini. (moins d'une minute) Reste à glisser votre sac écolo dans la poubelle. Plus de plastique qui dépasse. 

Economique ET écologique

Bien pratique pour faire un petit contenant pour éplucher les légumes… La pochette va directement dans le composteur.
Pareil pour le seau de compostage de la cuisine… J’utilise 2 ou 3 feuilles de papier journal pour fabriquer le bac, pour plus de solidité. Quand c’est plein, direction le composteur.
On m'a donné de grande feuilles blanche de papier un peu glacé, restes d'emballages de déménagement... De quoi faire d'autres formats.
Et pour le FUN, du petit gabarit pour quelques bonbons ou trois grignoteries, même si on s'éloigne un peu en n'utilisant plus du papier récup.
Voili, voilou : nul doute que vous saurez adapter à vos besoins. 
N’oublions pas, 
c’est bon pour la planète.

Une idée qui m’a emballée !

Dans ma quête du Graal du zéro déchet… ou en tout cas du moins possible, petit à petit je m’y mets, cherche et trouve ! 
Je vous propose de réaliser un tissu protecteur imperméable ET réutilisable pour les aliments, en remplacement du film plastique étirable… D'autant que si vous êtes normalement constituée, comme moi, cela m’étonnerait bien que vous ne pestiez pas régulièrement contre ce dernier... qui se colle sur lui-même, se découpe mal, etc !

J’en ai aperçu du "tout fait", mais à 8€ pièce, ça vaut le coup de se bouger les fesses pour le faire soi-même ! J’ai vu des vidéos, comme ici, et lu plusieurs articles comme .
Voici ce qu’il vous faut : du tissu de coton assez fin, de la cire d’abeille et une feuille de papier sulfurisé.
Evidemment, les puristes pourront me reprocher d’utiliser du papier sulfurisé… A décharge, je le garde pour renouveler l’expérience et avoir ainsi une série de ces tissus. (ET TOC)

Quelques minutes suffisent à cette fabrication simplissime.
Déposer le papier sulfurisé dans la lèche frite du four, puis le tissu choisi (propre et repassé).
Pour mon carré qui mesurent environ 30 cm de côté, j’ai réparti un peu moins de 10 g de pastilles de cire d’abeille. (de chez Aroma Zone).
* Glisser dans le four à faible température (entre 80 et 90°).  
* Patienter 6 à 7 mn. Les pastilles fondent et imprègnent le tissu. 
* Porte du four ouverte, avec le dos d’une cuillère, j’ai bien lissé pour qu’il y ait de la cire partout.
Dès la sortie du four, décoller le tissu du papier sulfurisé. Il va se rigidifier en quelques instants.
Dans l’envie de vous montrer rapidement, j’ai laissé les bords tels quels… J’aurais pu faire, avant, un petit zig-zag à la machine (éviter un ourlet, trop épais) ou couper aux ciseaux cranteurs. Du coup, je le fais maintenant et j' arrondis aussi un peu les angles. Pour le ranger, on peut le plier.
Impec en couvre récipient… Très rapidement, la chaleur des mains, suffit à faire adhérer le tissu sur le support. La preuve !
Et puis aussi, super pour emballer un fruit entamé, un reste de pain ou un goûter, transporter un sandwich, préserver un fromage… comme couvercle de yaourt maison ou d'un petit reste...
Par contre, NE PAS utiliser avec la viande, le poisson et la charcuterie afin d'éliminer tout risque de contaminations. 

ENTRETIEN : 
Le tissu se lave EXCLUSIVEMENT à l’eau froide avec un peu de produit à vaisselle ou de savon de Marseille. (ni eau chaude, ni machine à laver).
Si votre tissu s'abîme : fer à repasser entre deux feuilles de papier sulfurisé ou au four avec quelques nouvelles pastilles de cire. 

Des astuces :
Inutile d’allumer le four exprès… profiter de la fin de cuisson d’un plat par exemple.
Et pour sa fin de vie : à découper en lanières pour servir d’allume feu dans la cheminée.

Voili, voilou : je ne sais pas vous, mais perso, je suis entièrement convaincue (et j'espère ASSEZ convaincante pour que vous fassiez l'expérience !)
AJOUT d'avril 2021 : Je fais maintenant les bee wraps avec de l'huile de jojoba et de la cire d'abeille. J'utilise mon pinceau de cuisine pour passer UN PEU d'huile, puis je dispose les pastilles de cire. 

Joli galbe…

C'est bien la principale (et seule) raison qui m’a attirée vers ce tabouret. Parce que...
- côté état, il a bien besoin d'un lifting (comme moi, même s'il n'est probablement pas aussi vieux),
- côté essence (je n'ose pas écrire bois) , c'est du contreplaqué,
- côté confort, faudra repasser ! 
Lessivage tout à fait indispensable et nécessaire. Un peu de pâte à bois, du ponçage et le dépoussiérage qui va avec. Deux couches de blanc pour la base. Paré pour la suite.
Faut maintenant que je lui trouve une sa place, ce qui induira sa finition :
* Salon, salle à manger, cuisine (tout en un, chez nous) : là, c’est mort…
* Salle de bain : étant donné qu’elle fait royalement 5 m2, je n’ouvre même pas la porte, inutile !
* Chambre 1 : naaan, c'est complet...
* Véranda : naaan...
* Petit espoir dans la chambre d’amis/bureau : "ah ben voui" (cri du cœur qui sauve), ce sera là, MÊME KE Chéri est d’accord de suite, à croire que cela manquait depuis la nuit des temps !

Même lessivé, poncé, peint, toutes les imperfections ressortent. C’est le problème avec le blanc. (comme moi, lorsque je mets un pantalon blanc, c’est pas toujours hyper flatteur !)
Du coup, je passe les tranches en noir. (comme moi, lorsque je mets un pantalon noir, ça cache la misère et c’est trèèèès élégant !)
Pour les faces, quelques lignes repères, puis peinture en tapotant le pinceau pour donner ce merveilleux effet matière fabuleux et original.
L’assise (bien que nous ne l’utiliserons probablement jamais en tabouret) est recouverte d’une chute de lino… et pour le shooting photo, le coussin papillon.
Voili, voulou : je suis bien contente, même si ça ne se voit pas au garde meubles garage que j’ai fait de la place !!
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