Mais en ces périodes de fêtes,
y’a pas que moi, d’abord !
Premiers essais avec la
tempéreuse à chocolats
Voici
MA tempéreuse,
tellement
désirée,
tant attendue,
enfin arrivée ! Je déballe religieusement et lis attentivement les
recommandations et mode d'emploi.
Pour aller plus vite (conseils
lus sur internet), je fais fondre 300 des 400 g de pistoles de chocolat noir
au micro-ondes en vérifiant la température.
52°, c’est parfait.
J’ajoute les 100 g de chocolat
réservés, verse mon mélange dans la cuve de la tempéreuse, puis continue à
surveiller la descente
aux enfers… J’active le processus en plaçant la cuve sur un bac à glaçons et en mélangeant
constamment.
27° : j’installe la cuve
dans la tempéreuse et règle celle-ci sur 31°. J’utilise mon thermomètre de
cuisson en doublette pour être sûre de la température, car le thermostat de la tempéreuse me semble un peu
olé olé. Le chocolat est brillant, fluide,
je jubile.
Je commence par les caramels
(J’ai refait une nouvelle fournée) : tremper, récupérer, tapoter,
déposer, décorer…
LA fabuleuse fourchette que
Jacques m’a fabriquée est parfaite, absolument parfaite : du vrai matos de
pro. Merci Jacques !
Regardez comme c'est beau, comme ça brille...
Las, au bout de quelques minutes
le magnifique brillant de mes caramels devient terne et moche, avec des
striures blanchâtres. Ma déception est immense.
Il faudrait que je recommence le
processus complet de tempérage, mais je suis dépitée et même pas sûre du
résultat.
Il me reste du chocolat et je
vais simplement le couler sur une feuille de papier sulfurisé.
Parallèlement, je prépare un
petit mélange de
cerises confites coupées en 4, pistaches torréfiées en 2, praliné et
brisures de meringues.
J’étale mon reste de chocolat à
la spatule et couvre de mon mélange. Au moins, on ne verra pas que le chocolat
n’est pas brillant !
Pour la présentation, je casse
cette pseudo tablettes en gros morceaux irréguliers : ça change !
PPC (piètre petite consolation) : même si le
chocolat n’est pas brillant, ces friandises sont délicieuses
Voili, voilou : un jour je l’aurai !