OUPS !!

ERRATUM

Une coquille s’est glissée dans mon article précédent.
C’est en fait le 6ème et non le 7ème pêle mêle…


Du coup, ma belle mise en scène et mon parrainage tombent à l’eau !

C’est pourquoi, j’ai décidé collégialement avec moi-même que le prochain pêle mêle qui sera effectivement le 7ème du nom sera cependant nommé pêle mêle n° 6…, car, après tout, je vois pas pourquoi, on ne pourrait pas bousculer l’ordre des choses de temps en temps.

Ce n’est d’ailleurs pas moi qui ai commencé, car je me souviens avoir déjà entendu quelque part : « Les derniers seront les premiers.»


Et pour être vraiment honnête, vous en étiez vous aperçu ?

     Pour me faire pardonner si besoin... 
un peu d'humour 
pour vous souhaiter un bon week end !! 

007…

J’ai toujours en attente quelques trucs à vous montrer, qui ne nécessitent pas forcément un article à eux seuls…
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Voici donc le 7ème pêle mêle de l’aventure de mon blog, bien évidemment  parrainé par un dénommé JB.
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Allez zou, je vous  montre ! 

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Des essais de tricot avec mes belles grosses aiguilles n° 10 du père Noël de Belle Maman et, tiens donc, y’avait longtemps, du traphilo maison. Expérience à poursuivre. Voilà ce que cela donne :
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Jus d’orange…  ou plus exactement sirop de sucre d'oranges confites... reliquat de la fabrication des orangettes. Je ne voulais pas jeter. J'ai ajouté 1 CS de miel, de la vanille (sans blague ?!), 1/2 verre d'eau pour remplir ma petite bouteille. Parfait pour sucrer et parfumer tisanes, infusions, voire grog...
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Toujours à la cuisine, une nouvelle poudre de perlimpinpin. Prélever le zeste d'écorces d'oranges (bio ! indispensable à cause des bons pesticides dont on nous inonde... ).
Je casse en petits morceaux les écorces sèches pour les passer au mini robot, mais impossible de faire de la poudre ! 
Du coup, obligation d'utiliser une boule à thé pour infuser. La prochaine fois, je laisserai mes morceaux en entier pour pouvoir les repêcher facilement.
Pour parfumer lait et crème dessert, en laissant poupougner à chaud. A tester aussi avec des citrons, mais je ne l’ai pas encore fait. Pour rejoindre mes petites aides culinaires maison.
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Trooop mignons, adorables, craquants, à défaut d’être vraiment indispensables… J’ai vu l’idée par ici et comme j’ai de ravissants flacons...
...je "cuttérise", coupe, "ponçotte", customise…
En quelques photos, voici le résultat :
Une pastille "scratch" auto adhésive pour fermer...
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Doublé récup-écolo : mes lingettes ménage !  Simples carrés de vieux torchons, serviettes. Tout le tour, un zig zag pas très décoratif certes, mais on s'en tape c’est pas important. Je les imprègne de mon super spray ménager maison et glissées dans une boîte plastique, elles sont toujours prêtes à rendre service ! C’est pas bosa ??
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Et pour finir, je ne vous laisserai pas poireauter devant cette découverte- en tout cas pour moi- du blanc de poireau CRU, émincé finement...
au dernier moment sur une salade verte, de tomates ou de crudités en général et juste avant de servir pour garder le petit croquant, sur un potage ou des légumes.
Si vous ne connaissez pas, à tester, c’est très sympa !
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Voili, voilou : bientôt, une série d’astuces toutes plus fabuleuses les unes que les autres !

Pour maître corbeau… cheese !

Un plateau qui ne me plait plus… mais avec un plateau de verre intéressant.
Deux boîtes à brie récupérées dans, sur, à côté d'une poubelle du marché, sur mon lieu de vacances ou PERSONNE ne me connaît, heureusement, évidemment, hi, hi, hi !!
Phase 1 : donner de l’épaisseur au plateau en collant 2 dessus de boîte à brie, renforcés par un disque de carton. Pause d’une nuit pour le séchage sous presse.
Phase 2 : faire un petit tour avec deux bandes de carton collés au pistolet à colle autour.
Phase 3 : kraftage… Je m’applique particulièrement à l’ intérieur, car le kraft restera visible.
Phase 4 : il y a un vieux proverbe de Confucius qui dit "Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis". Je m'empresse donc d'en changer pour le bord et décide de coller de chaque côté du carton, une bordure de bois. Je recoupe dans ma boîte de fromage récup.
Pause d’une nuit, pour le séchage.
Phase 5 : La custo-déco-finition :
Le dessous est entièrement recouvert de kraft gommé. Je mets de la pâte à bois sur le dessus de la bordure, ponce, puis une couche de peinture noire... Je passe une couche de teinte pour bois couleur merisier sur tout le reste, dessus, dessous.
Sur le tour j’écris, au feutre indélébile, la belle phrase de Brillat Savarin. Je vous la livre, car difficile de la photographier en une seul fois…"Un repas sans fromages est comme une belle à qui il manque un œil !"
Je poupougne ensuite deux couches de cire mate. Je place mon plateau de verre. TAC, FINI !
Pour celles qui n’aurait pas la chance d’avoir un plateau de verre, autant pour protéger le fond du plateau que pour ne pas risquer d’ingérer un produit néfaste pour la santé (teinte, cire… ), je sais qu’il existe des vernis alimentaires !
Voili, voilou : et si on faisait un repas tout fromages ?

"Comment voulez vous gouverner un pays où il existe 258* sortes de fromages ? "
Charles de Gaulle

(* beaucoup, beaucoup plus !)

Généalogie

Je me suis peut être un peu précipitée pour proposer la réfection de ce fauteuil. C’est mon père qui m’a demandé de le refaire, en respectant la tradition de montage, avec crin, tissus ancien et tout le toutim…
Une mine pour m’aider :
* Ses croquis, mesures et annotations : c’est lui qui s’est occupé de remplacer sangles et ressorts.
* Et les vidéos que j’avoue avoir regardées plusieurs fois avant de me lancer.
Voilà où nous en sommes !
Sur les ressorts, pose d’une toile de jute, puis les ressorts sont maintenus sur cette toile. Couture avec ficelle et aiguille courbe.
Il faut ensuite coudre des lacets (toujours en ficelle) sur cette même toile pour maintenir le crin à poser ensuite.
Le crin, ça craint ! J’ouvre enfin mon grand sac reçu il y a quelques jours et dispose le crin en bonne couche, tenu par les lacets.
Je tasse le crin et teste plusieurs fois le confort de l’assise, avant d’installer une nouvelle toile de jute.
Rebelote et dix de der avec une nouvelle couche de crin, moins épaisse mais respectable tout de même, puis la mise en blanc… un drap de Mère-grand pour cette phase !
Je m'occupe du dossier, puis des accoudoirs. Il y a du crin un peu partout, on se croirait dans une étable. Il est prêt pour la garniture. Oups, j’ai oublié de prendre en photos. La vérité vraie, c'est que j'en ai bien pris, mais qu'elles sont floues !
D’abord le dossier, face intérieure, pas toujours facile d’agrafer le tissu ! Ensuite l’assise. A l’arrière, en bas, je glisse un petit mot de l’histoire de ce fauteuil. Je termine par les accoudoirs, aidée (psychologiquement), par quelques noms d'oiseaux bien choisis.
J’approche du but. Je dois encore coller mes 8 m de galon et devinez qui va m’aider ? Le PAC, off course (autrement dit pistolet à colle).
Je termine par une toile agrafée en dessous.
Le voilà dans toute sa splendeur. Je lui ai prêté un petit coin de véranda pour l'occasion.
Voili, voilou : il attend bien sagement son départ ! 

Oh lala, et maintenant, v’la que j’ boîte !!

Si je regarde un peu en arrière, je m’aperçois que ce n’est pas si nouveau que ça… Déjà  , et … ou encore par ici, ou autrement par …  
Bref ! Je boîte presque tout le temps…  
Faut que je consulte ??

Cette fois ci, c’est avec une boîte de conserve ronde dont les dimensions me semblent "originales" face à la boîte classique de petits pois ou de raviolis… : 16 cm de diamètre et 8 cm de hauteur.
J’écrase au marteau le bord un tant soit peu encore coupant dû à l’ouvre boîte. Puis colle de suite une bande de kraft gommé à queue de cheval sur le bord.
Je ne veux pas en faire un vide poche, et je me creuse la boîte crânienne pour faire un couvercle. Bien sûr le carton est une évidence. Avec un rebord pour s’emboîterPistolet à colle pour le construire.
Kraft partout.
Pour changer, je fais des pieds. Du carton roulé, collé, puis recouvert de liège. 
Une rondelle de mousse pour terminer. Pieds collés au pistolet sur fond de mousse.
Je ne veux pas en faire une boîte noire. Je farfouille dans mes chutes de tapisserie. Le corps sera blanc, intérieur et extérieur recouverts.
Pour le couvercle, un joli ton marron glacé à effet peau de "j’sais pas quoi ", intérieur et extérieur.
Pour le bouton du couvercle, un rouleau de carton.
Je l’ai placé au pifomètre et je dirai dans une envolée lyrique d'autosatisfaction, qu'il est parfaitement centré...
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Voili, voilou : bien déguisée, hein ??
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