Envie de vert, ou tout du moins, de végétal…

*** Plaidoyer pour se nourrir autrement ***

Il est grand temps de changer et d’adapter notre alimentation pour notre bien être, mais aussi celui de la planète à préserver de toute urgence.

Petit à petit, je découvre d’autres façons de se nourrir, (généralement*) pleines de belles surprises gustatives. Je ne suis pas végan, ni végétarienne, ni vraiment flexitarienne car je mange de la viande encore assez régulièrement, le chemin se fait tranquillou.

******* Comme aujourd'hui, il fait un vrai temps de cochon, je m’installe à la cuisine pour quelques essais de recettes véganes autour de l’amande.

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🍽 Le "parmesan" végétal (ici) : on peut faire avec des noix de cajou, j’ai fait 50 % amandes, 50 % cajou.

Ce sera donc :

   - 2 CS d’amandes et noix de cajou grossièrement moulues,

   - 2 CS de levure maltée,

   - 1/2 CC d’ail en poudre,

   - 1 pincée de poivre, 1 pincée de sel.

A saupoudrer sans vergogne, sur des pâtes du risotto, pizza… voire même les légumes : SuPerBe !

Et 🍒 sur le gâteau : comme ce sont des ingrédients secs, peut se conserver à température ambiante longtemps, sans souci.

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👀Je demande de la purée : les amandes sont sorties, il y a bien longtemps que je n’ai pas fait de purée, c’est l’occasion.

Je procède dans mon robot, en plusieurs fois, pour ne pas faire (trop) chauffer la préparation.

🍽 Et puis, mise en œuvre d’une recette piquée sur un pot, mélange d’huile de coco et purée d’amandes pour les ingrédients principaux.

Voici ma patouille :

   * 60 g d’huile de coco

   * 80 g de purée d’amandes

   * 25 g de sucre (ici de coco)

   * 5 gouttes d’extrait de vanille

Si besoin, assouplir l'huile de coco au micro ondes pour mieux l'incorporer dans la préparation.

Une bouchée de brioche maison pour tester : WAouH, c’est bien bon.

🍽 Souvenir d’un voyage en Crête, le beurre d’amandes salé proposé avec des pommes de terres vapeur. 

👀J’ai trouvé ici, d’autres idées avec la purée d’amandes.

🍽 La MAYO végan. J’ai les ingrédients, mais pas de proportions, voici ma poupougne : 

* 35 g de purée d’amandes

* 1 CS de jus de citron (frais, ce serait mieux, mais JENAI pas)

* 1CS de sauce soja

* Huile d’olive

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Mélanger amandes, jus de citron et sauce soja, puis monter en ajoutant petit à petit l’huile d‘olive. Évidemment, j’ai pas fait comme ça, j’ai versé l’huile et j’ai tout mélangé au mixeur.

Résultat des courses :

* ça n’a pas du tout la couleur de la mayonnaise, peu étonnant avec des amandes brutes.

* ça n’a pas du tout la consistance de la mayonnaise : peu étonnant, puisque je n'ai pas émulsionné doucement avec l'huile.

- ça n’a pas non plus du tout le goût de la mayonnaise, MAIS c’est très bon KANMÊME. 

Ce sera MA saus'amande.

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Voili, voilou : une chose est sûre, je referai ces trois préparations sans problème.

Faut arrêter de le prendre pour une cloche...

Acheté lors de notre premier séjour à La Réunion, lorsque mon fils y faisait ses études, ce carillon a presque 20 ans d’âge. Il était relégué au garage dépotoir et a failli partir dans la cheminée.

Et puis, en le regardant d’un peu plus près avant de le gerber, j'ai VU qu’il avait encore du potentiel. La mini case ira dans un arbre cet été, ça c’est du vite recyclé.
Pour les tubes de bambou (le nom vrai de vrai est chaumes ou cannes), ça demande un chouya plus de réflexion. Je veux les suspendre et les aligner mais ne plus les entendre chanter dans le vent. Mon idée est de les mettre en valeur, si possible joliment. 

Leitmotiv : ne RIEN acheter, mais vu ce que j'ai en stock, même pas peur.

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Ponçage, tout va bien, c’est facile et rapide.

Peinturage, ou plus exactement poupougnage : du blanc et du blanc légèrement irisé.
Je prépare le bois qui servira de support, don de ma copine Clo, il y a un bon moment, mais comme d’habitude, gardéS précieusement (ET le bois ET l'amitié précieuse de ma copine). J’essuie rapidement la surface pour avoir un effet blanchi mais pas trop intense. (Je ne sais pas si vous m’avez compris, mais ce n’est pas grave). Cire.

Pour les cannes, peinture et léger ponçage pour velouter la surface.

Au feutre Posca noir, des décors sublimes pour, évidemment, sublimer les chaumes, vous connaissez mon talent ! 

Armée de mon pistolet à colle fétiche, je glisse différentes cordelettes et autres grigris d’ici, qui n’avaient pas trouvé d’usage jusqu’à présent. Une plume en pâte auto durcissante, une boule de rotin, elle aussi en stock.

Pour éviter de percer le support, un point de colle chaude sur l’arrière.

Voili, voilou : quand je pense que ça a failli partir au feu...

Persévérance ou entêtement ?

Nouvelle et ultime tentative… Oui, je sais, je l’ai déjà dit, écrit, juré et proclamé lors du 3ème, puis 4ème, et évidemment lors du 5ème essai. 

Mais à chaque fois ou presque, après l’engouement des premières utilisations, ont suivi désenchantement et déception : pas assez comme ça, trop comme ci... 

Bref, MOI, pas satisfaite !

Et puis, j'ai vu une vidéo donnant THE merveilleuse recette magique et simplissime pour convaincre la plus récalcitrante des ménagères. Me voilà donc à faire ce nouveau mélange pour un :

*** PRODUIT VAISSELLE extraordinaire ***

Ce sera demi dose pour commencer, "chat échaudé craint l'eau froide", c'est bien connu :

* 25 g copeaux de savon de Marseille

   * 40 cl d’eau (concrètement, plutôt 50 cl)

   * 1 CS de vinaigre blanc

   * 1 CS de savon noir

Dissoudre le savon de Marseille dans l’eau en chauffant. Laisser refroidir en remuant fréquemment. Ajouter vinaigre blanc et savon noir. FINITO. Verser dans le contenant. J’ai rajouté un peu d’eau, car le mélange a beaucoup épaissi.

EssaiS et constatationS : au pluriel, paske OUI, j’en ai fait plusieurs avant de me décider à partager cette patouille !

* Verser le produit sur l’éponge et non dans l’eau de lavage de la vaisselle. C'est visqueux, mais poursuivons...

* Joli petit miracle attendu : normalement, ça mousse. Ben là, pas du tout !  Poursuivons quand même...

* Le produit fait son office, mais la vaisselle glisse, continuons...

* Un seul bon point, le rinçage est facile et la vaisselle propre.

Bref, MOI, pas satisfaite une fois de plus. 

Voili, voilou : je crois que j'ai enfin compris que je dois arrêter mes essais dans ce domaine.

BON à savoir :

👉 Le plus simple, juste du savon de Marseille, reste l'option à retenter, quand c'est moi qui fais la plonge, car Chéri n'est pas fan. 

👉 Le cake vaisselle à la Végétaline (ICI) me convient bien, mais ça me fait un peu grincer des dents d’utiliser de l’huile de coco qui vient du bout du monde, c’est pas écolo à mon sens ! De plus, Chéri n'est pas non plus fan.

Sans titre... j'ai pas de (bonne) idée !

Je suis toujours dans une période frénétique de tricot et crochet. Après avoir réalisé une flopée d’écharpes et voulant réduire mon stock de laines, j’ai eu une petite envie pressante d’un coussin pour le canapé.

Voici les couleurs utilisées. Crochet numéro 5. J’ai doublé certaines laines.

J’ai trouvé (là), un tuto très bien expliqué, car je veux lui donner la forme d’un demi disque. C’est facile et rapide. Maintenant, je sais faire la fausse bride, que même pas je savais que ça existait.

De temps en temps je fais un rang de brides sans augmentations pour éviter que ça gondole à Venise. 

Le deuxième morceau est tout aussi rapide à crocheter.

Pour l'intérieur, un vieux drap plié en deux pour la base, deux épaisseurs de ouatine et bourrage récup. La machine à coudre a fait une rapide apparition pour l'occasion.

Pour border et rassembler les deux formes, un rang de 1/2 brides en noir le long de l’arrondi.

Pour la base… Je ferme en utilisant les fils des différentes couleurs.

Et c’est là que,
ENFIN,      (... pauvrette ...)
ça fait TILT !

Pourquoi ne pas avoir crocheté un disque COMPLET puis le plier en deux ?

Je pourrais inventer que je ne voulais pas faire les deux côtés en laine, mais c’est même pas vrai.

          Petit moment de SOLITUDE, 

                     On PASSE...

Bel effet décoratif, n'est il pas ?

Moelleux, mais ferme, idéal pour caler le dos, parfait pour nos vieux os.

Et quelques pelotes de laine de plus en moins, c'était bien là le challenge de départ.

              

Voili, voilou : je vous laisse rire bien volontiers de ma bêtise, je n’en suis moi même pas encore remise.

C ‘est NOUVEL AN…

Pour vous rassurer de suite, je ne perds pas encore la boule, demain 10 février, c’est bien nouvel an… mais chinois !

C’est l’année du dragon qui commence. Quelle belle coïncidence, car toujours dans ma folie du moment à tricoter devant la télé, après avoir fait plusieurs nouvelles écharpes vaporeuses (ICI) et  triangulaires chèches (ICI), j’ai trouvé un AUTRE modèle appelé queue de dragon.

J’ai une belle laine 50 % de mérinos, je commence. Aiguilles numéro 5.

Le tuto (là) est très bien expliqué, c’est hyper facile. Par contre, pas d’écailles jusqu’à la fin et je trouve cela dommage.

Je fouine et là, j’ai trouvé une vidéo pour des écailles jusqu'au bout du bout. Les rangs raccourcis sont bien expliqués. J’ai bordé avec un rang de mailles coulées au crochet 4,5 tout le long des écailles.

Encore une écharpe queue de dragon dans (toujours) ce fil très léger, aiguilles numéro 4,5. En cours : 

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Mais je ne fais pas QUE regarder la télé, et qui dit chinois, dit NEMS, même si, sans vouloir chinoiser, les nems sont d’origine vietnamienne. 

Ce n’est pas compliqué à faire, peut-être juste un peu long à rouler. Allez, je vous explique, version au poulet. Pour les ingrédients et proportions, c’est à la fin de l’article.

J’ai mis à réhydrater les champignons noirs et les vermicelles dans de l’eau bouillante, environ 10 mn. Égoutter, éponger. Couper les vermicelles en morceaux de 2 cm. Mixer le poulet coupé en gros dés.

Éplucher carotte et oignon, puis passer au robot pour mixer finement, ainsi que les champignons noirs. Ajouter le poulet et l'œuf. 

Terminer par les vermicelles de riz, persil, coriandre, ail haché, assaisonnement : bien malaxer pour une préparation homogène. 

Pour rouler, un torchon humide et un saladier rempli d’eau chaude.

Tremper rapidement les feuilles de riz dans le saladier, puis poser sur le torchon. Déposer une cuillerée à soupe bombée de farce. Replier sur la farce, puis les côtés en restant parallèle.

Ensuite rouler le nem en serrant légèrement. Éventuellement, "coller" la base au blanc d’œuf. Perso, je n’ai pas fait.

C'est prêt pour la cuisson.

D’abord un bain de friture à 150° pendant 5 à 6 mn pour permettre à la garniture de cuire.

Sortir, laisser tiédir. Pour dorer et donner le croustillant plonger à nouveau dans la friture, mais cette fois-ci à 180°, pendant 5 mn. Egoutter et servir.

J’ai présenté une salade composée : carotte râpée, germes de soja, oignon rouge, noix de cajou grillées à sec et concassées, salade verte et herbes du jardin : menthe, persil, coriandre. 

Sauce vinaigrette (un chouya) et sauce nems mélangées. Sauce maison évidemment (à la fin de l'article)

Les nems se dorent la pilule, à la poêle, sans nouvel ajout d'huile : 

Je ne vous ferai pas de démo sur l’art d'utiliser les baguettes, je dois encore m’entraîner, vraiment pas douée.

Voili, voilou : vous savez tout.