Pilulier géant…

C’est Domi qui m’a fait don de cet ustensile, chiné sur une brocante ... un moule à rissoles de Betty Bossi 
(Betty Bossi est une cuisinière fictive qu'un fabricant suisse de margarine utilisa pour ses publicités, devenue maison d'édition et marque d'ustensiles de cuisine.)

Pour la première utilisation, je fais simple… version bec sucré.
Une pâte feuilletée toute prête, légèrement amincie au rouleau, découpée en une large bande et placée sur l’appareil. Je passe du jaune d’œuf à l’intérieur et dépose ma garniture : 1 CC de compote d’abricots (maison), quelques petites amandes effilées grillées et des menus morceaux d’abricots secs, mais très moelleux cependant !
Je rabats le dessus et là, simplissime, en 10 secondes et quelques va et vient sur le couvercle, mes ravioles se soudent et se découpent. Il reste à les enlever délicatement du support et les placer pour cuisson… Encore un peu de jaune d’œuf, une ombre de sucre sur le dessus et quelques amandes effilées.
Avec les chutes de pâte, badigeon au jaune d’œuf, sucre en poudre et cannelle, roulage pas trop serré, aplatissage, re-jaune d’œuf et re-sucre ...
Cuisson environ 15 mn à 180°.
Un nuage de poudre (sucre glace) avant de se présenter.
Autant j’ai mis un peu de temps avant cette première fois, autant je crois que je vais, maintenant, m’en servir souvent. Les variations sont (presque) infinies, jetez donc un coup d’œil par ici.
Evidemment on peut faire sans cet ustensile, ce ne sont QUE des chaussons ou ravioles…, mais l’affaire est grandement facilitée avec le support (merci Domi).
Le petit + : les ravioles peuvent se congeler crues, une bonne idée  pour des bouchées rapidement prêtes !  
Bon, c’est pas le tout, il faut tester : Chéri ? Tu viens goûter ? (Délicieux a-t-il déclaré)

Voili, voilou : bon appétit ! 

Allo ?

Support téléphone portable

Avant... (mais c'était avant...) j'avais ce modèle, hyper "girly", mais pas hyper fonctionnel... Depuis que j'ai un portable, quand je le recharge, le fil et le téléphone traînent…


En regardant , j’ai bricolé,  moi aussi, hyper rapidement un support, mais avec une petite astuce. Regardez donc…
Le magnifique précieux flacon vide et ses formes hyper galbées :
Le dessin hyper mathématique et précis de la découpe, après avoir coupé le haut :
La découpe  hyper minutieuse aux ciseaux et cutter :
La sublime déco hyper personnalisée, aux feutres "pocsa" :
L’astuce range fil, hyper pratique et personnelle : (Non, vous n' êtes pas hypermétrope, la photo est un peu flou artistique)
La mise en place hyper rigoureuse du fil :
Et, enfin, l' utilisation hyper branchée : 

10 mn de taf et encore, c’est parce que je ne savais pas comment "décorer" ! A vous de jouer… :
Voili, voilou : prête à téléphoner et pas pour poser un lapin !!

Senteurs exquises




Riant sous cape, Maître Capelo 
m'a chanté à capella...
en mangeant des capuli  sans cupule…
vive les capillas ! 


Après les plâtres parfumés, une nouvelle façon de parfumer sa maison de façon naturelle et économique.

Reste à préparer la base parfumée.
J’ai commencé par lire les étiquettes de ceux que je trouvais dans le commerce : très évasif, et très chimique...
J’ai bien sûr, regardé sur la toile cirée, et c'est ici que j'ai trouvé mon bonheur. Je me lance.
Heureusement, il me reste un peu d’alcool à 90°. Après j’utiliserai de la vodka, ou du vinaigre blanc.
Pour un litre : 1 CC d’ HE de lavande et idem d’orange. Evidemment, vous pouvez utiliser les huiles essentielles qui vous plaisent !
Mélanger avec ½ l d’alcool à 90° (ou de vodka…). Compléter avec ½ l d’eau. La préparation est un peu laiteuse.
Il reste à verser dans de jolis flacons et disposer les brins de rotin, qui diffusent  par capillarité, d’où le nom ! (on trouve maintenant ces tiges en grande surface). De temps en temps je les retourne… en ajoute ou en enlève pour doser les senteurs ! Un petit zigouigoui en fil d'alu coloré.
Même le chat est attirée par ces effluves parfumées...
Voili, voilou : à bientôt pour d’autres senteurs de maison naturelles.

RDV chez l'endocrinologue...

Prendre le temps de ne rien faire ...
- Que penses tu faire aujourd'hui ?
- Rien, glander.
- Mais c'est déjà ce que tu as fait hier...
- Oui je sais, mais j'ai pas fini ! 

Que ce soit : 
en langage châtié :
Prendre du recul
Journée sans travail
Jour sabbatique
Repos hebdomadaire
Faire une pause
ou en langage plus familier :
Se tourner les pouces
Tirer sa flemme
Tirer au flanc
Merdouiller
Glandouiller

... je pense que vous avez compris, je ne vais pas vous égrener toutes les expressions similaires à celles ci-dessus, voici ce que j’ai décidé de faire aujourd’hui :

Tout ça, parce que j’ai trouvé ce petit panneau bien sympa ! 


Mais évidemment, j’ai plein de projets et idées à mettre en œuvre… 
Alors, à très bientôt ! 

Voili, voilou : délire du jour ! 
Même si...


Alouette, gentille alouette…


Pâté de foies de volailles dit "pâté d'alouette"

Une petite chanson pour se mettre dans l'ambiance...

            Pour comprendre
Quand j’étais petite, nous allions le dimanche au marché acheter un poulet. A cette époque (lointaine, je vous l’accorde), les poulets n’étaient pas éviscérés. Et de retour à la maison, j’assistais, au prélèvement desdites viscères et foie donc…
Avec ce foie, ma maman réalisait un petit pâté…
Nous étions 6 à table et le pâté était vraiment petit d’où son nom, pâté "d’alouette", (l’alouette n’étant pas un bien gros oiseau)... Le nom est resté et la tradition se perpétue, même si, maintenant,  je me contente d’acheter une boîte de foies de volailles !

Réalisation vraiment facile et rapide.
Plonger les foies rincés dans de l’eau frémissante salée et laisser cuire à cœur doucement. Rafraîchir, égoutter, et laisser refroidir.
Prévoir 40 à 50% du poids des foies en beurre demi sel ou non.
Mixer finement les foies et le beurre avec ail, sel, poivre, muscade.
Voilà, c’est tout ! Laisser prendre au moins 3 h au frais.
J'ai parfois cuit les foies au beurre, puis flambé à l'Armagnac ou au Cognac..., mais je préfère la version simplissime ci dessus. 

Dernièrement, j’ai découvert une variante  avec du pain d’épices.
J’ai gardé les mêmes proportions et 2 tranches de pain d’épices un peu sec, écroûté et émietté.
Pour le rendre plus festif, j’ai  flambé les foies cuits au porto, avant de les mixer avec les autres ingrédients, et ajouté persil et ciboulette...
N.B : vous pouvez réaliser cette recette avec des foies de canard ou de lapin.

Voili, voilou : ma foi, c'est bien meilleur que l'huile de foie de morue et pas de crainte d'avoir une crise de foie ! 

Pour Der…

Eh oui, car lampadaire  
Bon, OK, un peu facile...
En réalité, ce lampadaire appartient à ma cops Brigitte ! 

Voici le genre, mais corps noir et abat jour rouges... 
Ces derniers n’ont pas résisté, pourtant du PVC de toute beauté... 
Il n’en reste plus que 2 lorsque je le récupère.
Brigitte me fait confiance et m'abandonne son luminaire. 
                   A T-ELLE RAISON ??
Mes doigts fourmillent déjà de joie...
Assez de blabla, j'y va ! 


Je n'ai rapporté que la partie haute du lampadaire, plus facile à transporter.
J’aurais pu simplement refaire une collerette en polyphane, mais sans vraiment de charme et pas assez créatif pour moi... J’ai donc opté pour le style "pétales de fleurs", comme j’ai déjà fait ici ou ici.
C’est toujours le même principe : une armature de fil de fer, et du tissu collé au vernis colle.
Je prépare un semblant de patron et façonne le fil de fer. 4 pétales par tige et 5 tiges, 2 faces de tissu pour chaque pétale, voilà de quoi réviser mes tables de multiplication ! 
Le tissu étant plutôt fin, c’est pas toujours facile et je crois avoir lâché quelques insanités (mais bon, comme j’étais seule, il n’y a que moi qui les ai entendues !)
Reste à glisser et coincer les pétales entre le culot et la base. Bon, la photo est super moche, mais c’est pour que vous vous rendiez compte…
J’ai réalisé quelques filaments blancs avec du tissu sur polyphane pour lui donner de la tenue. Ils sont collés sur la base avec de la super glu.
Le fil de fer d’armature permet de courber les pétales à la demande.
La livraison ayant été effectuée, le voici de retour dans sa maison...
La "patronne" est enchantée... Ouf...
Voili, voilou : qu'en pensez vous ?

Un légume oublié : l' étamot

Crumble d' etamot 
(tomate en verlan.. eh, oui, un peu d'humour)

 Je ne voulais pas chercher "plus que ça" une recette, puisque j’en ai une que je réalise depuis longtemps et qui me convient parfaitement… Voici tout de même un lien, recette jumelle de celle que je pratique… Mes proportions à la fin.
Dans un premier temps, confire et caraméliser les oignons émincés dans un peu d’huile d’olive et du sucre en poudre. Assaisonner et disposer au fond du plat.
Débiter les tomates en tranches épaisses et les éponger. Les passer dans une poêle chaude avec de l’huile d’olive 2 ou 3 mn de chaque côté. Assaisonner (sel, poivre, ail, herbes de Provence) et disposer sur le lit d’oignons.
Préparer la pâte à crumble : j’ai utilisé des cacahuètes concassées.
Recouvrir les tomates. Cuire à 180° durant 40 mn environ.
Peut se déguster chaud, tiède ou froid… et se congeler, sans souci. (J’ai 20 portions qui attendent cet hiver). Ici avec une effilochée de canard...
Le petit truc en plus : "rab" de pâte à crumble… : je l’ai étalé sur une plaque de cuisson et cuit 15 mn environ. Une fois froid, je l’ai congelé. Délicieux à parsemer selon les envies sur un plat de légumes ou de pâtes, des crudités ou une salade verte…



Voili, voilou : vous savez tout... Bon appétit ! 


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