Cochonneries...

                               Mais NON, juste un essai de
                             Saucisse de poulet au jambon


Une recette très simple qui permet de savoir ce que l’on mange, car lorsque je lis ça… je suis horrifiée !

Je privilégie des ingrédients simples, des ustensiles qu’on a à la maison, des préparations faciles.

Je me suis inspirée . Pour une première fois, j’ai suivi à peu près, mais en divisant les proportions initiales par trois.
Mes ingrédients et proportions à la fin...
Je coupe les viandes en gros morceaux puis passe le tout au robot.
J’ajoute les autres ingrédients (pas d'édulcorant ni de gélatine, mais 1 œuf en plus qui n’était pas indiqué dans la recette), et re-robot…
Parallèlement, je lance le jus de cuisson avec une tablette de bouillon de volaille et un bouquet garni.
Je prépare mon saucisson avec plusieurs couches de film étirable. (En choisir un qui résiste à plus de 140°) .
Tapoter, presser, serrer, rouler pour éviter les bulles d’air.
Bain frémissant durant 40 mn. Pendant ce temps, je fais quelques exercices de diction... (Pas fastoche, essayez donc!)
"Ces six saucissons-ci sont si secs qu'on ne sait si c'en sont." 
Laisser refroidir dans le bouillon puis réfrigérer au moins 2 h. Couper en tranches et déguster… Miam, miam !
A refaire. Sur certaines tranches, j’ai tartiné du fromage de chèvre maison.

Je viens de terminer une version porc 100 % (200 g de porc, 200 g de jambon). J’ai coupé environ 50 g de jambon au couteau, pour avoir quelques menus morceaux dans ma saucisse.
Crème fraîche à la place du fromage blanc. Pas de gélatine, paprika en plus et ajout de pistaches concassées (environ 30 g), 2 œufs.
J’ai préféré en faire 2 de diamètre un peu plus petit, je trouve cela plus joli ! (mais, ça c’est que mon avis). Même procédure.
Verdict : moins blanc visuellement, car le paprika colore un peu, tout aussi bon que la version au poulet, sympa les pistaches, fôdra que j'essaie avec des olives...

Voili, voilou : 1, 2, 3, sortez vos casseroles et donnez moi votre avis, si vous essayez ! 

On m'a chip(s)é...

mes courgettes...
tellement bonnes pour la santé !
Râpées, émincées, crues ou cuites, en velouté chaud ou froid, en ratatouille ou en gratin, farcies, en cannellonis, en beignets, dans un flan ou pour un tian, seules ou accompagnées, sans parler de la confiture ou dans le congelo... j'ai déjà essayé beaucoup de recettes !    
Mais, nos 2 pieds de courgettes continuent à donner et sans vraiment en avoir assez, je commence à être à court d’idées originales
Je vous propose :
Les chips de courgettes, opération facilitée par mon séchoir à fruits et légumes, mais que l’on peut réaliser au four. Evidemment, il faut... des courgettes et des épices. 
Emincer à la mandoline, mais si vous n’en avez pas, au couteau… C’est juste un peu plus long. Le but étant de déshydrater, je les essuie soigneusement des deux côtés...
... mais pas trop, pour que mes épices (sel, poivre et persillade) adhérent tout de même. Attention à ne pas trop saler car les chips perdent 85 % de leur poids.
Disposer dans les plateaux sans que les tranches se touchent. Toutes les 90 mn, je monte le plateau du bas en haut… Si c'est au four, sur un papier sulfurisé, température 120°, pendant au moins 1 h 30 (temps variable, à surveiller).
Temps complet de séchage : 6 h environ.
J'ai vu avec un filet d'huile d'olive, mais je n'ai pas testé, décidée à faire léger !

A grignoter sans vergogne (chips très light, comme celles de pommes de terre), à glisser dans une salade, en déco d’assiette, ou à réhydrater pour les cuisiner... 


Une salade de courgettes pleine de saveurs : tout réside dans la sauce...
Une courgette émincée pour commencer.
Blanchir 3 minutes à l'eau bouillante salée, avec thym et laurier. Rafraîchir de suite et bien égoutter, voire éponger pour enlever le surplus d'eau. La courgette n'est plus crue, mais pas encore cuite... "al dente", donc ! 
Voici les ingrédients de la sauce. J'ai haché les raisins secs au couteau et ciselé les herbes (menthe, persil, basilic), une petite gousse d'ail écrasée, une pincée de sel, citron, vinaigre balsamique, huile d'olive... ( j'ai tout mis au "pif" et donc, il faut goûter)
Disposer artistement les rondelles de courgettes sur une assiette, verser la sauce, mettre au frais.
Rajouter quelques amandes effilées grillées juste avant de servir.

Voili, voilou : encore de quoi écluser quelques courgettes !

Provision de randonneur…

FOU, c’est lui qui le dit !! 
Les amandes sont excellentes  pour la santé en général.
Quant à la pâte d’amandes, elle est  idéale pour donner un petit coup de fouet en rando.
Et, c’est si facile à faire ! J’ai guetté ici.
Peu d’ingrédients : tout est là.
J’ai torréfié 10 mn la poudre d’amandes dans une poêle à sec, pour libérer tous ses arômes et la sécher.
Après complet refroidissement, passage au robot pour obtenir une poudre très fine. Mélange avec le même poids de sucre glace.
J’ai parfumé avec un peu  de va**lle (vous avez deviné ? Trop fort !!) et 4 gouttes d’amande amère.
Rajout d’eau (très peu !) pour obtenir la pâte… J’ai tout fait au robot.
Mon boudin est prêt et va faire un petit tour au frigo.
Découpage et emballage en bouchées, comme les pâtes de fruits
Je peux vous dire que ça n’a rien à voir avec la pâte d’amande du commerce (qui ne contient d’ailleurs généralement qu’environ 35% de poudre d’amandes).
On peut évidemment colorer, parfumer et façonner à son goût.


Voili, voilou : on pourrait presque dire que je participe à la rando, non ?

Il jouait du piano debout...

C’est  peut être  un  détail pour vous...
Mais pour moi, ça veut dire beaucoup...              Michel BergerFrance Gall

Ça veut dire qu’il faut que j’en mette un coup…
Sinon, Paul aura mal aux genoux…
Et, ça, c’est pas bon du tout...  
MOI pour mon Blog

A vrai dire, je croyais y échapper. Ben voui, les copains habitent Belfort et comme moi, maintenant, j’y suis plus…
Mais, (car il y a un mais), lors de mes dernières vacances, le sujet est revenu sur le tapis et donc je l’ai chargé dans ma voiture (j'avais pas la kalachnikov sur la tempe, non plus)…
Voici l’objet :
Je commence par un décapage "chimique" pour le plus gros, car avec ces jolis pieds pleins de creux, de bosses et de rondeurs, impossible de passer la ponceuse. J’en aurai toujours assez à faire à la main.
Je l’ai déjà fait pour un autre meuble. Rinçage au jet. Séchage au soleil : ça tombe bien, y'en a ! Il faut poncer pour enlever au maximum la peinture. Gros grains, moyens grains, grains fins. Voilà le résultat, c'est déjà mieux, mais pas de miracle...
Quelques petites raponces de pâte à bois sur le socle.
L'heure de la sous couche arrive. Je prépare petit rouleau et pinceau et commence mon "barbouillage", 24 h de séchage. Jusque là, tout va bien.
Je profite de cette inaction relative pour aller choisir les peintures, avec mon petit échantillon de toile pour l'assise. J'espère que mon choix conviendra aux propriétaires, car je voudrais bien que nous restions amis (hi, hi, hi !). 
Je démonte l'assise que je vais changer aussi. Un clou  tous les 5 mm, ça fait un bon paquet. 
Mauvaise surprise : elle est complètement fendue, donc collage et pièces de maintien en dessous.
Comme je viens d'essayer un nouvel effet, je décide (avec l'aval des propriétaires) de faire la même chose.
Donc une première couche d'une couleur : 
La deuxième, plus claire...
Et le ponçage (papier 180 et 220) pour finir. Enfin pour finir (qu'elle croyait, la naïve !!), pas du tout, car c'est très très moche et je décide de recommencer une couche de la première couleur et cette fois, travail à l'éponge, au chiffon, au sac plastique avec la deuxième couleur.

Et puis, reste l'assise. Le principe je connais, y'a plus ka. Un nouveau molleton pour le fondement du pianiste, la toile bâchette agrafée tout autour (facile avec l'agrafeuse électrique, cadeau de moi-même pour moi), un galon fait maison avec le même tissu et collé pour cacher tout ça.
L'assise rejoint le socle, y'a plus qu'à admirer.
Voili, voilou : plus question de nous servir des canards  au prochain  concert !  ( quoique  en rillettes... )

"Je ne crois pas au génie,
seulement au dur travail."   (Michel Pettruciani)

L'arroseur arrosé...

Passion de collectionneur

Merci à Marijo qui s'est chargée des photos et me les a transmises avec son commentaire : "Excellent ! C'est la passion du fleuriste de Rougemont le Château (à 5 km de chez nous). Peut être qu'un jour sa déco va figurer dans le livre des records. C'est réjouissant dans ce monde de brutes !"

Si vous passez par là, je pense que cela vaut le coup d’œil !
Bravo à l’artiste, Bruno Geyer.
D'autres photos de ce paysage insolite, ...
J'ai aussi trouvé un petit reportage sur un collectionneur d'arrosoirs.
Au fait, combien en a t- il ? Le sait-il lui même ?
Connaissez vous le nom spécifique du collectionneur d'arrosoirs ?

VBE*… pour ne rien faire !

Bricolos du mois d’août

*VBE = vraie bonne excuse…

Il fait trop chaud pour travailler. Donc, je ne travaille pas, je bricole. Je voulais écrire "bricolote", mais je ne crois pas que ce soit dans le dico... 

Lampion boule
Quelques dizaines d’ombrelles de papier pour agrémenter cette boule japonaise, utilisée en plafonnier.
Un nouveau touret...
Ponçage, teinte, pochoirs, cire et roulettes.
Juste à bonne hauteur, à côté de la chaise longue.
Photophore
Un ressort de matelas, poncé, même pas peint et une bougie parfumée.
Ce matin, au jardin, de retour de vacances, une courgette de 2,5 kg nous attendait ! Avec les premières tomates, de quoi faire une ratatouille, un velouté au chèvre à déguster bien frais, et le reste en lamelles au déshydrateur pour des chips croustillantes.
Après l’essai du confit de bière, j’ai relancé une fournée avec 1,5 l de bière. Je n’ai plus qu’à étiqueter les pots.
Boire un petit coup, c’est agréable...
Les vins de cassissier (3 bouteilles) et cerisiers (6 bouteilles) sont mis en cave. Normalement, "fôdrait" attendre un peu pour consommer...

Voili, voilou : c'est la bonne heure pour faire comme ma petite cocotte : maillot et bronzette ! 
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