Un meuble de bon caractère, tout comme moi... : bien COMMODE !

Il y a quelques semaines, nous sommes allés au vide maison d’un oncle du côté de Roanne. 
Merci à Catherine d’avoir pensé à moi, avec déjà plein de tissus et laines réservés à Marietouzazim.

Dans une des pièces, une commode assez vintage, pour qui la voudrait.
Viiite une photo, viiite un envoi à Narbonne… Et une réponse qui est arrivée aussi viiite : OUI. 
C’était pas prévu et elle rentre juste dans la voiture déjà bien chargée.

Après, bien sûr, commande a été aussi
viiite passée pour la relooker un peu plus moderne !
Je profite des derniers beaux jours pour m’installer dehors et faire le ponçage. De belles grandes surfaces planes, c'est facile.
Ensuite, la peinture. J’ai tout de même passé 4 couches pour avoir un (beau) rendu. Je respecte le choix de Leilanie de la vouloir toute blanche, mais ne peux m’empêcher de lui proposer une patte en argent, ainsi que les poignées. 
Les tiroirs sont peints en blanc également à l’intérieur, j’ai passé deux couches, en ponçant légèrement entre. Pour le devant des tiroirs de la tapisserie avec "une sorte de genre de motif donnant l’impression de relief sans en avoir en réalité", toujours du ton sur ton. J’ai collé à la colle vinylique.
Je pense avoir terminé, mais, m
anque de bol, le tiroir du haut coince méchamment. Méthode de grand mère pour y remédier, je passe de la bougie, en frottant bien pour la tiédir et améliorer la glisse. Comme ça ne suffit pas, lime, ponçage, donc naturellement peinture à refaire, mais cette fois, c'est OK ! 
L’arrière n’est pas bien beau, je peins puis colle de la tapisserie. Même si ça ne se voit pas, MOI, je sais que c’est propre.
En attendant le passage du déménageur, elle file au garage rejoindre les autres meubles et trucs en instance de départ.



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Voili, voilou : à part les temps de pause entre les différentes couches de peinture, un relook assez rapide et pas trop de mauvaises surprises en cours de route.
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Mets le paquet, ça PRESSE !

... Lac de Kruth ...

Lorsque je suis allée chez mon amie Martine, après les incontournables petites courses de munster et bargkass (fromages alsaciens, mais c’est normal, elle habite Kruth en Alsace), nous avons visité la galerie K’ARTELL à Fellering 
et je suis restée baba, scotchée, bluffée tout autant qu’émerveillée et époustouflée devant les œuvres de Régine FIMBEL.

J’ai trouvé son idée absolument fabuleuse et ses créations fantastiquement épatantes. Voici ce qui a particulièrement provoqué mon émoi artistique, trouvé sur sa page facebook. Je l’ai contactée et elle m’a donné son accord pour publier cette photo sur mon blog.

J’ai vu en vrai d’autres de ses compositions, c’est extraordinaire. Des centaines de petits paquets ficelés et agencés sur une grande toile. On dirait des paysages vus du ciel.

*** Bref, j’imagine que vous avez compris :  J'ADOOORE ***

J’ai déjà patouillé avec du journal en vannerie de papier, par ici, ou par . J’aime… euh, non, j‘adore l’idée de détourner du journal pour en faire autre chose, même si l’utilité n’en est pas forcément évidente, je vous l’accorde !

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Mon avis de moi, à méditer : le concept de l’art est utile, mais je ne pense pas que les pièces qui relèvent de l’art doivent forcément avoir une utilité.

Alors, de retour dans ma maison à moi, je me suis empressée de l’imiter pour réaliser un tableautin, sans prétention de rendu, simplement parce que l’idée de ces paquets pliés m’a emballée ! La toile est un carré de 15 cm de côté, c’est largement suffisant, et coïncidence VOIRE signe du destin, je l’avais déjà recouverte de journal.

J’ai coupé des bandes à l'aide du réglet, sans spécialement mesurer la largeur.
J’ai plié ensuite en 3 ou 4 dans la longueur, puis plusieurs fois cette longue bande. Je maintiens mes petits paquets avec des pinces de couture, c’est parfait.
Ensuite l’empaquetage. Du mouliné à broder, dédoublé en 3 brins, plus ou moins entouré et noué.
J’ai tout collé au pistolet à colle chaude, en partant du centre.
Petite fantaisie : j’ai collé l’ultime paquet légèrement de travers. Je ne sais pas combien il y en a. J'ai passé une couche de vernis satiné.
Pour terminer, j’ai collé au scotch double face sur le miroir customisé par ici, il y a quelques années.
Voili, voilou : je retourne à mon gros chantier… c’est mon prochain article, donc, c’est pour très bientôt.

Inutile de se crêper le chignon... article dédié à Anto ! (*)


(*) Tout de suite vous expliquer : dans notre famille, le roi des crêpes, c’est Antonin pour les faire ET pour les manger, quoique dans ce domaine, il y a de la concurrence. Alors, quand j’ai vu (de mes yeux vu) ce qui suit, j’ai été étonnée, et il a fallu que je teste de suite, bien sûr ! Je serais d’ailleurs bien curieuse de savoir qui connait.

CRÊPES en BOCAUX …

Le début, c’est facile, il faut faire des crêpes et donc de la pâte à crêpes. Une fois préparée, laisser reposer un moment. J’ai deux crêpières à ma disposition.
J’ai préparé cinq pots, en mesurant la hauteur disponible pour ranger les crêpes.
Dès qu’une est cuite, je la dépose sur une assiette, replie les côtés et roule ensuite assez serré. J’ai parfois coupé un peu le bord, si c’était trop croustillant.
Effectivement, on peut ranger 5 crêpes, même si, il faut serrer pour glisser la dernière.
J’ai rempli 4 pots, il fallait en garder pour le goûter.
Le sirop : chauffer de l’eau avec une belle rasade de Cointreau, du sucre et de la vanille, le tout à la louche, au pifomètre. J’ai KANMÊME goûté : 
   * Cointreau parfait, 
   * Sucre parfait, 
   * Vanille parfait ! Environ une louche par bocal, donc il en reste.
Fermer les bocaux et les placer dans la cocotte-minute. Remplir d'eau jusqu'au raz des couvercles. A partir du chuchotement de la soupape, compter 45 mn. laisser la vapeur s'échapper naturellement et sortir à chaud. Si c'est au stérilisateur, 1 H à 100°, sortir à chaud.
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En attendant, nous avons mangé celles gardées pour le goûter, avec une poupougnette de gelée de myrtilles (maison, hein !). Son bon goût fait oublier la langue et les dents violette, ce qui, même à notre âge, nous fait toujours rire.           
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On dirait que les crêpes ont gonflé dans les pots, je crains le pire, il n'y a plus de jus. 

Et, maintenant, ce qui est tout de même (LE PLUS) important : 

THE DEGUSTATION

📌Premier essai : en comité restreint, Chéri et moi. Le démoulage se fait sans problème, j’avais un peu peur que ça colle, tombe en charpie, ou ne sorte pas.
Je préfère couper en tranches, car je trouve le dessin formé par les crêpes roulées, bien joli.
Aujourd’hui, c’est déco fond de placard : marmelade abricots vanille cannelle, verveine cristallisée, une once de glace mangue coco maison et en toping (ça fait branché, hein !), du mélange croquant (). La texture est très moelleuse, on croirait manger des crêpes, belle surprise et belle découverte pour la conservation.
📌 Deuxième essai : on élargit le cercle, mais ça reste dans la famille. Je note les commentaires courts mais éloquents : Trop bon ! 
📌 Dernier pot offert évidemment offert au ROI de la crêpe. Je suis plutôt contente car, malgré mon âge avancé, j'ai réussi à le bluffer.  
Je retiens la possibilité d’avoir ce petit dessert en réserve et je ne manquerai d’offrir quelques pots, (mais il faut que j'en refasse) car l’idée est sympa.
Voili, voilou :  une vérité s’il en est besoin :

Les personnes qui pâtissent des crêpes et qui n’en proposent pas, c’est mets « CHANDELEUR » part !
                    Sandrine Fillassier 

Attention aux chutes !




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Après avoir cousu les pochettes à savon (ICI), j’ai laissé la machine à coudre sortie quelques jours pour des petites bricoles en attente depuis un moment.

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Le PORTE CHEQUIER :
extérieur en coton enduit, intérieur tissu vichy d’une ancienne (très ancienne même) nappe à carreaux de chez ma maman.
Une première couture endroit contre endroit en laissant une ouverture. J’ai coupé les angles, retourné. J’ai replié et cousu.
Voilà, c’est déjà terminé et bien PLUSSS joli que l’autre ! Mon bon argent virtuel est bien protégé.

Avec le reste de la nappe (même si elle était grande, j’arrive bientôt au bout), j’ai confectionné des MOUCHOIRS pour le nez délicat de Chéri.
Ils mesurent 20 cm de côté, taille parfaite pour un mouchage unique. Puis, HOP, direction le lavage.
C’est toujours «ça» de mouchoirs en papier de plus en moins (vous me suivez ?) pour notre planète.

Toujours dans l’esprit récup, avec une nappe (coton enduit, achetée dans un vide grenier), le TAPIS/SAC de piscine pour petits petons.
Un grand disque de coton enduit, doublé de tissu éponge.

Couture endroit contre endroit
Ensuite, j'ai retourné et fait une couture à environ 1,5 cm du bord pour glisser un élastique. Mais ça ne coulisse pas bien. J'ai donc cousu des pattes pour passer une cordelette.

Mais, au fait, à quoi ça sert ?

Pendant des années, je suis allée à la piscine avec mes élèves et c’était vraiment galère de se rhabiller avec les pieds mouillés. Le tapis permet de garder les pieds au sec, on dépose son maillot et son bonnet et hop, on ferme. Belle idée, hein !
Pour le second, j'ai utilisé un essuie mains en éponge dégoté au marché de Narbonne, avec un bel attrape rêves brodé, et j'ai cousu les pattes de suite ! Il est pour Ambre qui va à la piscine avec l'école.


J'ai aussi cousu un grand sac avec un lien coulissant pour ranger la couette du lit pliant une personne et retouché un vêtement. 
La machine retourne au placard, mais je sais déjà que je vais bientôt la ressortir pour des lingettes bébé.(ICI)


Après avoir crocheté deux pieuvres pour mes deux miss (ICI), j’en ai fait une dernière format mini. C’est ma copine Martine en Alsace (de Kruth) qui en a hérité. 
Je pensais en avoir terminé, mais ma filleule et son frère m’en ont commandé, car ils viennent de devenir parrain et marraine de deux charmants bambins. Je ne pouvais tout de même pas refuser... (Oui, JE SAIS, ma bonté me perdra !)

Voili, voilou : des projets plus conséquents en route, affaire à suivre ! 

A nous le velouté de pêche et une peau de bébé...

Même si c’est article ne vous présente rien de nouveau à proprement dit, voici mes occupations de ces derniers jours ! C'est la suite de cet article, ICI.
Avec Nadine, ma copine, nous avons cousu une trentaine de pochettes à savon. L’intérieur est en coton enduit, l’extérieur en cotonnade fantaisie. Merci Nadine, car nous y avons passé plusieurs heures.
Ensuite, j’ai emballé individuellement tous les savons que j’ai confectionnés, une centaine. J’ai (vous me connaissez) privilégié le côté récup, en essayant de faire quelque chose de joli tout de même. Comme quoi, la serpillière a mille et une facettes. (Rappelez-vous, )
Chacun a un nom. Celui-ci est au charbon actif : 
J’ai noté précisément ce que j’ai mis dans MES recettes : 
   * huiles (toutes bio), 
   * laits végétaux maison : coco, avoine et infusions de mélisse, romarin ou lavande du jardin,
   * ajouts : miel, charbon actif, cacao...
  * fragrances et huiles essentielles. Cependant les fragrances sont chimiques et je préfère réserver les huiles essentielles à un usage thérapeutique, d'autant qu'il en faut beaucoup pour un résultat olfactif  aléatoire.
Tout de même un petit cœur, et une mignonette pince à linge.
Chaque lot est composé de 4 savons différents et on peut choisir à part la pochette.
Tout est dit. Merci pour vos commandes.

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Je vais bientôt pouvoir faire un beau chèque à l'association DOMINOS.

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Voili, voilou : j'ai évidemment envie de (re) savonner. Ca tombe bien, je n'ai plus  de stock, et  j'espère bien avoir  de nouvelles commandes  pour les fêtes.
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