Ce qui s'appelle être sur la sellette !

Pas de séjour à Belfort, sans passer chez ma copine Marie Laure et sa petite famille. A chaque fois, elle me met de côté des choses qui peuvent m’intéresser. J’ai ainsi rapporté cette sellette qu’elle a sauvée de la déchetterie. Bravo pour ce geste héroïque et merci.

Transformation en 3 mouvements :

Phase 1, réparer :

Les deux plateaux sont fendus. J'utilise la classique pâte à bois dessus dessous pour combler la misère.

Phase 2, préparer la base :

Ponçage à la main (ben voui, on est dimanche, respect du repos dominical de mes voisins). Je m’installe dehors, temps radieux. Ce n’est pas une grosse pièce, il n’y a pas trop de moulures, ça va vite.

Phase 3, customiser :

Pour m’aider, j’ai déjà réfléchi (si, si, je le fais souvent, même si ça ne débouche pas toujours sur du concret) où la placer, ce qui induit les couleurs. Ce sera sous la véranda côté jardin. Je fouine dans tous mes pots de peinture et c’est là, que (horreur, malheur), je me souviens que j’ai terminé la couleur vanille très récemment. 

Heureusement, il me reste de la peinture acrylique en tube et je trouve mon bonheur.

Je me contente de peindre les plateaux et un petit rappel de couleur en haut. Finition mate.

Trois couches tout de même, j'aurais dû passer une couche de bouche pores, mais l'idée de m'a pas du tout effleurée au moment opportun. (TANT PIS). Égrenage papier 400. Pour les pattes, je cire, sans autre forme de procès ! HoP, en scène :

Voili, voilou : en manque d’inspiration pour clôturer, j'allais écrire "et maintenant, reste à savoir combien de temps Chéri mettra-t-il avant de découvrir cette nouvelle déco…" Mais ce n’est pas hyper sympa, alors je ne l’écris pas !

Allez, à bientôt.