Lorsque Belle Maman a déménagé,
il y a quelques mois, nous étions allés lui donner un coup de main.
Sur un coup de tête, je lui avais
proposé quelques aménagements (je n’irai pas jusqu’à dire embellissements) pour
son intérieur.
👉Entre autres, dans sa chambre,
une tête de lit, sans avoir à trop se creuser, ni à se prendre la tête. J’avais d’ailleurs fait un
croquignolet croquis coté pour les mesures (prise de courant, plinthe, largeur,
hauteur).
L’idée avait germé, mais, tête de linotte, j’avais ostensiblement oublié. Comme nous avions prévu d’y aller il y a peu,
j’ai réfléchi à tête reposée et lancé la réalisation, fissa, fissa !
Déjà, la grande plaque de MDF : 100 x 145. L’air de rien
c’est lourd et pas facile à manipuler seule. (maniement du chariot dans
les rayons, chargement dans la voiture.)
J’avais mon idée derrière la tête, je voulais que cela
lui plaise, mais sans trop lui demander pour qu’elle ait un peu la surprise. A vrai dire, tout comme d’habitude, genre n’en
faire qu’à MA tête !
C’est Chéri qui, sans faire la forte tête, s’est
chargé des découpes à la scie sauteuse. Je profite de sa bonté et lui
demande de percer de gros trous, pour alléger cette grande surface.
Tête baissée et procédure
habituelle pour ce travail : ponçage, plusieurs couches de
peinture, en poupougnage pour la dernière, en puisant dans mes stocks. (Il m’en reste toujours et encore, mais tout de même de
moins en moins).
Pour estomper le
bleu, je passe une dernière couche de teinte vanille un peu diluée, puis ponce en 400.
Reste à l’installer. Vous ne
pouvez pas voir, mais les double-rideaux sont d’un beau bleu lumineux (que je
n’avais pas vu), qui s’accorde parfaitement à la couleur des étoiles.
Il a fallu le sortir de son emplacement,
coller la plaque,
sangler durant quelques heures,
puis le remettre en place.
Petit HIC : la poignée fragilisée par le vissage, faut que je trouve une idée
pour la renforcer.
Plutôt pas mal, non ?
👉Dernière promesse faite la
dernière fois : un himmeli pour l’éclairage de l’entrée. J'utilise des pailles plastique, reste de mes premiers essais.
Je prévois tous mes morceaux et prends 6 pailles
verticales.
La construction se fait par le bas, car il faudra que j’installe le
haut directement sur la douille. Je commence l’enfilage.
Le pistolet à colle à la
rescousse pour cacher le petit passage de la ficelle, une boulette de papier
d’alu collée au pistolet. (Quand on n’a pas de matériel, on a des idées).
Voili, voilou : cette
fois-ci je repars JUSTE avec une petite commande de housse de machine à pain.
Fastoche, quoi !!
Quelle chance elle a ta belle-maman … avoir une Marie bricoleuse sous la main qui sait aller au devant des désidérata … belles réalisations! Comme d'hab tout colle bien, je te félicite .
RépondreSupprimerMerci Marijo... et à bientôt. Des bises
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