Quand on veut, on PNEU…

Plus trop de temps avant mon départ en vacances : eh oui, chacun son tour, les retraités quand les enfants retournent à l’école.
Après quelques balbutiements d’utilisation de chambre à air par ici, j’y reviens... ça fait à peine fait 2 ans 1/2 que j’avais proclamé que je vous montrerais la suite. 
*****
Tout vient à point qui sait attendre. 

Donc voici mes bidouilles du moment.
Pour aller avec le collier présenté ci-dessus, (en réalité, je ne l’ai plus, je ne sais MÊME pas qui a été assez aimable pour se résigner à l’accepter) des bracelets, uniquement avec de la chambre à air découpée.
Le matériel est vite réuni.
Très souple, elle se coupe facilement : une bande que j’ai prévue assez fine mais c’est au choix et des anneaux que j’ai voulu peu larges, mais c’est comme on veut, (entre 35 et 40). Pour terminer quelques gouttes, de forme, longueur et largeur, là encore que c’est comme on veut qu’on fait ! Entailler pour glisser la bande. 
J’ai enfilé les anneaux, puis les gouttes, assez aléatoirement, je l’avoue.
Pour fermer, une petite entaille d’un côté de la bande et de l’autre un nœud à glisser dans l’entaille.
Ou pourquoi pas nouer les deux extrémités, mais en le prévoyant de façon à laisser pendre un peu les extrémités (ou pas…) Voilà, c’est fini !
Forte de cette SUBLAÏME création, je refais le même genre, mais en tournant les anneaux en 8 sur la bande.
Là encore quelques gouttes. Et même principe de fermeture.
En double bracelet, ça me plaît bien aussi. Et je pourrais faire un collier assorti, why not ?
Pour aller avec mes magnifiques bracelets, une idée de broche. Une fois ouverte, la chambre à air mesure 5 cm de large.
Je découpe cinq disques irréguliers, de plus en plus petits. On peut utiliser n’importe quel côté de la chambre à air. Sur l’endroit, il y a comme de fines nervures.
Quelques perles de rocailles cousues, puis les disques les uns sur les autres.
Petit montage à l’arrière pour coller une épingle à nourrice ( celle-ci est un peu grande, mais je n’ai retrouvé que ça dans mon bazar) et signature incontournable au feutre posca. Ce n’est pas totalement indélébile, mais il faut déjà frotter énergiquement pour l’effacer.
Je réveille les pétales de quelques tracés du plus bel effet, dont j’ai le secret.

Sur une nouvelle panière à suspendre (ICI), crochetée en trapilho, ça le fait, non ?
*****


Voili, voilou : vu mon stock, encore de belles perspectives de créations, à suivre, donc !

4 commentaires:

  1. De l'idée tjrs plus d'idée et avec des matériaux insolites. Le Noir associé à la légèreté du caoutchouc c'est une réussite. Élégance et écolo comme d'habitude.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tu sais oh combien j'aime l'idée de recyclage... Un vrai bonheur de faire ces petits bricolos.

      Supprimer
  2. Coucou, alors, tu as décidé de rentrer et de nous gâter avec tes messages ?!
    Des pneus, mais je crois pas, d'où tu sors cette idée , ton homme fait du vélo et perce de temps en temps.... hum.... je réfléchissais tout tout haut, je n'ai rien dit ! Oui, je l'ai écrit, ma foi.
    C'est épatant, original et la broche est très jolie aussi, plus à mon goût et sur la nouvelle panière, c'est le top !
    Bon week-end !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Coucou bonjour,
      Esprit récup... tu me connais, toujours en alerte. C'est mon beau frère, mon fournisseur (presque) attitré de chambres à air. Ces réalisations sont très ludiques. Je ne désespère pas d'animer un petit atelier créatif un de ces jours : à suivre.
      En tout cas, merci de ta visite et à bientôt, forcément...

      Supprimer

Laisser votre message ici...

blogger