Faire AMANDE honorable...

Certes je suis obligée d’écrire ingrédients avec un "s", mais la liste est vite faite ! Voyez donc :
Mélanger la poudre d’amandes et la confiture. Je me suis permis l’ajout d’une pincée de sel et d’une once de vanille. 
Il est IMpoRtAnT d’utiliser un très beau saladier comme celui-ci, puisque c’est moi qui l’ai fait à l’atelier de poterie.
La pâte est épaisse et plutôt du genre collante. Façonner une boule, puis aplatir et creuser légèrement avec le doigt humide.
Disposer en quinconce sur la plaque (astuce qui permet à l’air de bien circuler). Cuisson à 170° environ 15 mn, mais toujours pareil, ça dépend de votre four. Laisser tiédir sur une grille.
Parallèlement, j’ai mis à tremper 3/4 de feuille de gélatine dans de l’eau froide. Une fois ramollie, je l’ai (vaguement) égouttée puis passée au micro-ondes 10 secondes. Je l’ai mélangée avec environ 2 CS de confiture d’abricots.
J’ai à nouveau un peu appuyé sur le centre des gâteaux et déposé 1 petite CC de confiture au centre. C’est TOUT.
Quelques physalis, PASKE nous en avons dans le jardin.
Pour la dégustation, aucun mal à trouver des testeurs : Chéri dans un premier temps, puis mes copines.
Chéri ne m’a pas demandé la recette, le pauvre sait tout juste où se trouve la cuisine. Mais les copines, SI, évidemment… C’est bon signe.


Voilo, voilà : hop, hop, hop, vite à la cuisine…


Sans titre… mais (peut-être) pas sans intérêt !


Lorsque je suis allée faire Mamie nounou à Narbonne avant la rentrée, j’avais repéré et admiré un mini sac/ pochette que Lei utilise pour ses petites affaires perso.


J’avais pris de nombreuses photos, et quelques mesures ultra précises, comme vous pouvez voir par ici, tout ça bien évidemment, pour en faire une à l’occasion.

Que de la récup, sauf… le fil à coudre !

* Extérieur : une jupe que l’on m’a donnée : le tissu me plait, mais petite taille. Je l’ai proposée à droite et gauche, mais personne n’en voulait.
* Doublure, car ma pochette sera doublée : autre jupe, causes idem.
* Poche zippée : du tissu que vient de me donner une copine.
* Zips et sangle poignée : toujours et encore récup vous dis-je !
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Coupe : c’est pas compliqué, deux grands rectangles (extérieur et doublure). J’aurais bien voulu la faire plus large, mais un peu limitée par la largeur des pans des jupes. Un autre rectangle pour la poche.
Je commence par celle-ci : (merci les tuto, je n’ai jamais fait ce genre de chose) endroit contre endroit et traçage de l’espace fermeture.
Je coupe jusqu’au raz de la couture et retourne. 
Je place la fermeture et surpique sur l’extérieur. Je plie en deux la poche et couds tout le tour : ça, c’est fait.
Poignée : un zig zag par-dessous :
... puis en points serrés sur le dessus. Pas tout à fait placée au bon endroit, trop en arrière, mais c’est un prototype ! Etiquette déco de la jupe, puis le grand zip avec la doublure.
Couture des côtés. J’ai failli oublier de laisser une ouverture pour pouvoir la retourner.
Pour donner de l’assise, un carré de 3 cm coupé avant de coudre, couture côté sur milieu fond.
Je retourne et ferme à la main l’ouverture laissée dans la doublure. Deux bidouilles : bouton cœur et ruban pour remplacer la tirette inexistante de la poche.
J’ai essayé d’en vanter l’indispensabilité auprès de mes belles-filles, mais peu d’écho pour l’instant.
Voilo, voilà : pas plus d'idée pour conclure, décidément, c'est un jour "sans"...

Chapelière modeste... Euh non modiste !

👀 Retour sur le salon TATOU JUSTE dont la date approche à grands pas. J’ai refait l’une des lettres de la banderole "coin famille", elle ne ressortait pas assez sur le fond.

👀 Avec ma copine Nadine, nous avons cousu des guirlandes de fanions pour enjoliver le coin famille. Un après-midi bien occupé pour l’occasion, 15 m de longueur en 3 guirlandes. J’avais préparé les gabarits et associé les tissus deux par deux.

👀Cette année, pour fêter les 20 ans du salon, une tombola est organisée. J’ai proposé la réalisation d’un grand chapeau pour récupérer les souches des tickets, dans l'esprit de celui-ci, créé il y a quelques années pour une autre assos.
📌Dans un premier temps, Chéri s’est dévoué pour couper le haut d’un seau (récup, évidemment), car je n’ai plus trop de carton en stock.
📌Pour le bord du chapeau, du carton. Petit délire avant de le fixer sur le corps du chapeau.
Faudrait peut-être que j’aille chez la coiffeuse, non ??
📌Je voulais le recouvrir de polyphane (*), mais c’est trop rigide et ça se décolle au fur et à mesure. Je coupe donc à raz et colle du tissu.
Le plus gros est fait, c’est presque le plus facile !

📌J’ai une copine qui vient de me donner des chutes de tissus. J’ai une bande qui ira parfaitement pour recouvrir le chapeau.  
Tout est tâtonnement expérimental et probablement pas la façon la plus logique et simple de faire, mais bon, c’est ça la créativité ! 
📌Je m’occupe du dessous : une bande crantée, épinglée, collée. Ficelle bien serrée pour tout maintenir en place.
📌Je triche un peu avec des galons pseudo déco, la bande de tissu n’est pas tout à fait assez large.

📌 Sur le dessus du bord, je colle des lettres découpées dans un reste de jean.
📌Pendant que ça sèche, je dessine avec bien du mal un grand tatou pour l’habillage du chapeau. Déco aux feutres.
📌Le couvercle permettra de garder au chaud les souches des tickets. Si besoin (et demande des responsables), je ferai une ouverture genre tirelire.

Voilo, voilà : rendez-vous le week end du 22 et 23 novembre, au parc expo de Saint Etienne pour ce salon à ne pas manquer !

Je me suis bien fait rouler…

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C’est la fin de saison au jardin. Avec les dernières courgettes, une recette qui se veut originale, tout du moins chez moi, puisqu’encore jamais réalisée…
*** GENOISE COURGETTE ***

Ingrédients et proportions à la fin. Râper les courgettes. Faire cuire et étuver dans une poêle 10 à 15 mn avec un peu d’huile d’olive. J’ai assaisonné  de sel et ail semoule. Réserver.
Séparer les blancs des jaunes. Mélanger les jaunes avec la fécule et la crème. Monter les blancs en neige ferme. Mélanger d’abord les courgettes refroidies avec la préparation jaune. Ensuite, les blancs en soulevant bien la masse.
Etaler sur un papier sulfurisé légèrement beurré. J’ai parsemé le dessus d’un mélange de graines (courge, sarrasin, flocons d’avoine, torréfiés et mixés grossièrement).
Direction le four pour 12 à 13 mn à 180°. A la sortie du four, retourner sur un torchon, et enlever le papier sulfu. Rouler pas trop serré et laisser refroidir. 
Vient l’heure de garnir. J’ai sorti ce que j’imagine utiliser aujourd’hui, car les variantes sont nombreuses.
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Une première couche de fromage à tartiner (fait maison) et légèrement saupoudré de curry et d’ail semoule.
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Ensuite, au gré de MA fantaisie, du jambon, du fromage prétranché, des lamelles de tomates séchées et quelques menus morceaux d’olives noires.
Je roule. Les tranches de fromage manquent de souplesse comme moi, pas trop facile à rouler, mais c’est BÔ tout de même, non ?
Multifacettes, ce roulé peut se déguster froid ou chaud :
👉 Chaud pour commencer : je coupe des tranches épaisses, quelques graines, de la poudre de peaux et pépins de tomate (ICI) et un beau coulis épais de tomates du jardin. La génoise est moelleuse et les courgettes sont bien présentes. Nous nous sommes régalés. 
👉 Version froide : avec une sauce fromage frais, citron et herbes, de la mayo réhaussée de ketchup, citron, ou simplement un coulis de tomates froid et bien épicé.

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Voilo, voilà : ce premier essai ouvre bien d’autres portes, notamment sur les garnitures.
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