Tout de suite, ça m’a plu… (sauf
le prix)Tout de suite, j’ai su comment
j’aillais faire... (enfin, presque)
Tout de suite, je m’y suis mise…
(vite, avant la fin des cours de poterie)
Tout de suite, j’ai su où
j’allais le placer
(ça, c’est pas vrai du tout, mais alors pas du tout)
*****
Voici donc l’objet de mon nouveau délire.
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Dans l’esprit déco végétale, déjà
pas mal de choses à la maison :
et en cordelette
tressée (ICI)
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A l’atelier de poterie, j’ai rapidement
modelé des tiges de différentes longueurs (26 à 70 cm) plus ou moins droites et
de différents diamètres. Simple cuisson biscuit. 
Le reste se passe à la maison. Je dégaine les peintures acryliques : une
couche vert pomme assez pétant sur toutes les tiges. Ensuite sur certaines,
poupougnage avec un vert plus soutenu, et re-couches vert pomme sur les autres.
J’ai tout ciré, pour (me) faire croire que cela sert à quelque chose.
Installation : là c’est plus
délicat. Déjà les tiges sont assez lourdes. Je ne veux naturellement rien
acheter de nouveau. Je fouine, cherche, imagine, bidouille, grogne,
essaie. Dans ce contenant, ça me plait.
Reste à trouver une, non, LA
place idéale que ça fera beau, qu’on pourra s’extasier en passant par là, sans
surcharger (difficile, car beaucoup de choses partout). Je jette mon dévolu sur
la véranda devant, je vous montre : 
Lors du dernier cours de poterie,
j’ai fait deux nouvelles tiges, je les récupèrerai à la rentrée.
Sur la commode sauvée du trottoir (ICI), à côté de la cousette de ma Mamée (ICI), c'est parfaitement idéal. (en tout cas, c'est mon avis)
Pendant que j’y suis, mes dernières créations en poterie pour cette année en pointillé.
Le pichet àvin eau, en forme de cône, sans anse. J’ai signé
mon œuvre. 
J’ai utilisé des scotchs pour délimiter les zones de peintures sous
couverte. Il faut passer plusieurs couches, puis direction la cabine
d’émaillage pour la couverte. Intérieur émaillé jaune lumineux. Ce n'est pas encore parfait, mais l'émaillage est plutôt réussi.
J’ai tout ciré, pour (me) faire croire que cela sert à quelque chose.
Installation : là c’est plus
délicat. Déjà les tiges sont assez lourdes. Je ne veux naturellement rien
acheter de nouveau. Je fouine, cherche, imagine, bidouille, 
Reste à trouver une, non, LA
place idéale que ça fera beau, qu’on pourra s’extasier en passant par là, sans
surcharger (difficile, car beaucoup de choses partout). Je jette mon dévolu sur
la véranda devant, je vous montre : 
Pendant que j’y suis, mes dernières créations en poterie pour cette année en pointillé.
Le pichet à
Support récup, bombé en noir.
Voili, voilou : l’atelier
ferme ses portes pour la période estivale. C’est toujours un crève-cœur que
d’attendre la réouverture.
Tu dis pichet, je dis vase . Je mets 20/20. Ils sont élégants, ont de belles couleurs. Beau tableau végétal : ces grandes tiges vertes sont du plus bel effet ... elles doivent bien garnir tes pichets.
RépondreSupprimerL'émaillage de mon pichet/vase m'a pris du temps, mais effectivement il est plutôt réussi, car la déception est parfois de mise lorsque nous découvrons nos pièces après la cuisson émail. Le raku reste une valeur sûre dans l'aléatoire des craquelures, j'aime beaucoup cette technique.
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