Encore une idée à faire pleurer !

🚗A quelques jours de partir en vacances, j’ai eu l’extrêmement bonne idée géniale d’acheter un sac de 5 kilos d’oignons rouges ! En rentrant de ce premier périple, j’ai EVIDEMMENT retrouvé mon sac d’oignons dont j’avais complètement oublié l’existence.
Le souci c’est qu’un nouveau voyage, tout autant prévu que le premier, s’annonce mais pour une dizaine de jours.
Certains commencent à germer, il devient urgent de s’en occuper. J’ai coupé, émincé et congelé les tiges qui commençaient à sortir. Après quelques recherches et beaucoup d’hésitation, c’est un crumble qui fait tilt pour en cuisiner une partie.

📌 D’abord tester…

J’ai épluché et émincés les oignons, avant de les faire rissoler assez fortement dans de l’huile d’olive. Pour les caraméliser, du miel et un peu de cassonade. Ensuite, du vinaigre balsamique et des épices : moutarde en poudre, ail, thym, sel, mélange d’épices (tenu secret par le vendeur, mais salé sucré et légèrement piquant). Pour finir, une belle poignée de raisins secs, un trait de sauce soja. J’ai laissé mijoter à feu moyen fort pendant 15 mn environ. Les oignons sont presque cuits.

Parallèlement, j’ai préparé le crumble en mélangeant les éléments secs puis en sablant avec le beurre. Ingrédients et quantités plus bas. 
J’ai disposé les oignons au fond du plat, puis recouvert avec le crumble. Cuisson au four pour 35 mn environ, à 180°, le dessus est bien doré. J’avais préparé un peu trop de pâte à crumble, je l’ai simplement fait cuire dans un moule à part. Refroidi et émietté, il servira plus tard.
Nous avons bien apprécié, mais il reste encore beaucoup, beaucoup d’oignons.

📌Courageusement, sans même une larme, juste le nez qui renifle un peu, j’épluche et émince les derniers kilos. Je procède de la même façon : rissoler, caraméliser, assaisonner. Je cuits très peu et remplis 4 bocaux pour stériliser en cocotte-minute. J’ai vérifié le lendemain matin, c’est réussi. Etiquetage et rangement des pots.

📌Avec le reste du crumble… une belle entrée froide, cette fois :
Un emporte pièce pour donner forme à la compotée oignons raisins.
Ensuite le crumble émietté. Quelques feuilles de mâche et un toupet de ciboulette avec un bouton encore fermé mais délicieusement croquant et parfumé. Trois gouttes de crème de vinaigre balsamique et le tour est joué !
Tout aussi bon qu'en version chaude.



Voili, voilou : je vais pouvoir partir l’esprit tranquille, mais une prochaine fois, je ferai un peu plus attention au timing !

 


Travail à la chaîne …

Je ne mets que peu de bijoux, mais il arrive parfois que de petites créas me fassent de l’œil. C'est le cas aujourd'hui.
Je suis dans mon année  "laine à donf", je crochète et/ou tricote tous les jours. J’ai un reste de fil qui sera parfait pour ce projet. 
Je ne crochète pas moins de 5 mètres de maille chaînette. Je garde une petite longueur pour la suite.
Je plie pour avoir 8 épaisseurs. J’aurais bien aimé qu’il soit un peu plus volumineux, mais je n'ai plus de fil. Je glisse quelques perles de bois et entortille le fil sur lui-même plusieurs fois. Avec la longueur restante je crochète toujours en chaînette de quoi entourer le collier.
Pour le fermoir, je me souviens du commentaire de Marijo, ICI. J’ai donc fait une boucle d’un côté et cousu un bouton de l’autre. Après ce n’était pas forcément utile, je passe ma tête sans défaire le bouton.
La couleur peut quasi presque donner l'impression d'un bijou en métal (je n'ose tout de même pas écrire "or").
Voili, voilou : personne ne m’a dit que c’était beau, mais comme personne ne m’a dit que c’était moche, je le garde.

Ça restera gravé dans ma mémoire !

C’est un peu toujours la même chose chez moi. Il y a parfois beaucoup de temps qui passe  avant la  réalisation de certains projets. 
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D’ailleurs, parfois tant de temps, qu’ils tombent tout  naturellement à l’eau ! Aujourd’hui, ce n’est pas le cas, sinon, cet article n’aurait pas lieu d’être.                        *****
En novembre dernier (2024, donc), lors du salon Tatou Juste, j’avais découvert un stand* proposant des stages via un regroupement d’artisans créateurs professionnels : vannerie, kirigami, savons, céramique, bois, verre filé ou gravé…
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C’est cette dernière activité qui m’avait tapée dans l’œil et je viens de réaliser une journée entière pour découvrir et réaliser de la gravure sur verre par sablage. Double intérêt : l’activité en elle-même et aussi parce que c’est sur du verre recyclé, total dans mes idées ! 
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Une petite heure de route pour rejoindre l’atelier de Florence (**), atelier partagé avec une vannière et une céramiste. Très bel endroit, propice à la création ! 
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Petit tour des différents postes, je ne me souviens (déjà) plus des noms des différentes machines nécessaires pour couper, polir le verre, SAUF que c’est bruyant. Pour quelques jours, Florence a un stagiaire, Dorian aux petits soins pour nous aussi.
Nous avons à dispo de nombreuses pièces à graver que ce soit pour faire des verres, gobelets et/ou luminaires, en verre blanc ou pas. Il est tout d’abord nécessaire de bien dégraisser le verre avec de l’acétone.
Ensuite, le principe est simple : cacher tout ce qui ne doit pas être dépoli par la suite. On peut utiliser du scotch épais, puis évider les parties au scalpel ou cutter...
Plein de gommettes à disposition : lettres, chiffres, différentes formes… Dessiner à la colle chaude…
Ensuite, direction la cabine de sablage et là, c’est vraiment très bruyant, surtout si le compresseur se met en route. Casque obligatoire.
L’utilisation en est facile. Déposer la ou les pièces à l’intérieur de la cabine et fermer la porte. On met le casque, on met la machine en route et on enfile les gants Passer le pistolet lentement sur les parties non protégées. Le verre est sablé quand il est mat.
Il suffit ensuite de nettoyer les pièces en décollant tout ce qu’on a passé un temps fou à coller… et… ADMIRER !
Gommettes lettres : 
De suite, avec ce que j'ai sous la main, une petite mise en scène, mais j'ai plein d'autres idées, il va falloir que j'y retourne ! 
Voili, voilou : enchantée, je fus…  Prochaine session pour moi, en juillet, j'ai hâte.

Occupe-toi de tes oignons !

Toujours adepte de petites nouveautés sympathiques et rapides à faire, j’avais mis sous le coude deux liens vidéos de... 

... CHIPS d’OIGNON au FROMAGE ...

👀 Comme d’habitude, je teste avant de vous présenter. 

Sur une feuille de cuisson, ou directement sur une plaque, disposer un mélange de fromages, ici : parmesan, Leerdamer et emmental pour compléter (ce sont les fromages que j’avais dans le frigo).Eplucher et couper les oignons en tranches fines. La mandoline est idéale, mais comme je NE sais PAS en jouer, j’ai fait au couteau : 2mm d’épaisseur, 3 max. Disposer sur le fromage, sans que les tranches ne se chevauchent.
Un peu d'huile d'olive, j’ai saupoudré d’herbes de Provence en poudre et, sur une partie, de curcumasio noisettes, courge et tournesol (ICI).
Au four pour environ 20 mn, d’après la vidéo. En réalité, j’ai mis 25 mn à 190°, et j’ai encore laissé dans le four éteint environ 10 mn.
Laisser refroidir puis couper en morceaux. J’ai haché les miettes qui serviront de topping dans une salade très bientôt. Le fromage est croustillant, l’oignon reste moelleux, ON aime.
Je ne veux pas me faire reprocher de ne penser qu’à l’apéro, même si je sais que ces chips sont idéales à déguster à ce moment-là. Ce sera donc sur l’assiette crudités de ce soir. 
Au dernier moment, une idée lumineuse : un trait de crème de vinaigre balsamique, ça "originalise"  et se marie "waouh" avec l'oignon.
Voili, voilou : facile et puis ça change des cacahuètes ! (si par le plus grand des hasards vous goutiez ces chips à l'apéritif.)

Aïe, aïe, ail…

Pilier de la cuisine, l’ail a plus d’un tour dans son sac pour ne pas se faire oublier. Botaniquement parlant, l’ail est un légume, quoique rarement consommé seul ou en grande quantité....
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Il y a quelques années, nous avons essayé d’en faire pousser dans notre jardin, mais sans succès.
Déshydraté, j’en ai toujours à portée de main. J’en achète du frais et j’ai aussi quelques gousses au congel. J’ai fait de l’ail confit à l’huile d’olive ou au miel. Bref, je ne saurais m’en passer, vous l’aurez bien compris.  
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Par le plus grand des hasards fortuits, je suis tombée sur une vidéo montrant comment avoir de jolies tiges tendres et parfumées, sans avoir à quitter sa cuisine et ce, tout au long de l’année. 
👉 J'ai tenté, je vous montre :
D’abord acheter une tête BIO. Je précise bio, car j’ai testé non bio et rien n’est sorti ! Séparer les gousses et les éplucher. Les épluchures peuvent aisément rejoindre de la poudre de bouillon de légumes.
Les disposer dans un récipient et verser un peu d’eau. Seul point important, changer l’eau tous les jours.
Pas besoin d’attendre bien longtemps pour voir de jolies tiges vert tendre pointer leur nez.
J’ai fait une première tonte après environ 10 jours.
C’est très parfumé, un peu piquant, idéal pour venir sublimer une salade ou des crudités.
J‘en ai congelé une partie.
J’ai à nouveau attendu une petite semaine pour une nouvelle coupe.
Les gousses commençant à être molles, je les ai bien lavées et décortiquées. J’ai un mini bulbe tout mignon que je dispose à nouveau dans l’eau.
👀 PLUS ETONNANT ENCORE : 
J’ai coupé les racines et, après une petite recherche, j’ai découvert qu’on pouvait aussi les manger.
Ni une, ni deux, j’en émince sur notre salade. Ça a bien le goût d’ail et bien piquant itou.
Voili, voilou : je crois que j’ai fait un tour assez complet, non ?

Moi aussi, je fais le BUZZZ !

Je suis sûre que vous en avez entendu parler et peut-être même en avez-vous goûté. 
En provenance de Dubaï, ce chocolat fourré affole les réseaux depuis un moment. Très peu pour moi d'aller là bas pour tout un tas de raisons.
BREF… Je vais tester, les recettes fleurissent, c’est très facile !

Voici les ingrédients, proportions en fin d’article.
Il y a quelques jours, j’ai préparé MA pâte de pistaches, un peu comme ICI. J’ai trouvé des pâtes kadaïf fraîches.
Je n’ai pas de moule "tablette", cette boîte (12 x 21 cm) fera l’affaire. Je garnis de papier transparent et de papier sulfurisé.
120 g de chocolat fondu au micro-ondes pour couvrir le fond du moule. Direction le réfrigérateur le temps de préparer le reste.
J’ai cuit les pâtes coupées finement aux ciseaux dans le beurre, jusqu’à coloration dorée 10 à 15 mn, sur feu moyen en remuant régulièrement. J’ai ajouté une mini pincée de sel, une ombre de vanille et un chouya de fève tonka râpée. Laisser tiédir, mélanger avec la pâte de pistaches.
Répartir sur la première couche de chocolat et retour au frais. Couler le reste du chocolat. Tapoter pour lisser et faire remonter les bulles d’air.
J’ai mis au congélateur 15 mn, puis tracé des lignes avec un couteau pour les futurs carrés. J’ai une belle tablette de 470 g, c’est du costaud ! Le démoulage se fait sans problème. Je coupe et goûte forcément :  
😏ALORS, cela vaut il le battage qui en est fait ? 
La texture de la ganache est tout à la fois fondante ET croustillante. L’association chocolat, pistache fait le job, mais couche de chocolat un peu épaisse par rapport à la garniture.
Pour être honnête, c’est bon, mais aussi extrêmement riche ! Mieux vaut ne pas en abuser.

👀Nouvel essai chocolat noir, ganache noisettes : proportions à la fin
Un peu moins de chocolat noir fondu au fond, environ 110 g.
Les pâtes kadaïf sont préparées comme précédemment. J'ai ajouté la pâte de noisettes et du sucre. 
Nouvelle couche de chocolat noir (environ 120 g), noisettes torréfiées et concassées sur le dessus.
Petite prise de 15 mn au congel avant de tracer des lignes de coupe. 
💪 600 g quand même, c'est du super costaud
Pour ne pas avoir qu’un avis, j’ai fait goûter à mes camarades élèves de poterie, et à mes collègues des Restos du Cœur. Commentaires courts mais efficaces : "à refaire, c’est délicieux !" que ce soit l'une ou l'autre version.
 
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La pâte à tartiner noisettes maison, 
pour les gourmands (ici). 
Ingrédients et proportions à la fin.
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Torréfiées puis frottées dans un torchon pour enlever un maximum de peaux. Direction le robot avec MON astuce couvercle anti projection (encore ICI) puissance 10, 4 fois 30 secondes, pour obtenir de la purée.
Puis : vanille, amande amère, sirop d'érable, sel, huile de noix. C'est trèèèès épais, j'ai ajouté progressivement de l'eau pour obtenir cette texture, environ 15 cl. Mixeur plongeant pour homogénéiser l'ensemble.
EXTRA : petite granulosité en bouche, bien parfumée et peu sucrée, belle onctuosité, à tartiner en remplacement de la confiture, un vrai délice ! 
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Mes réflexions personnelles (bô pléonasme, n'est il pas ?) : j'aurais dû mixer plus longtemps les noisettes pour obtenir une pâte plus fluide et donc ne nécessitant pas d'eau. A cause de l'eau ajoutée et craignant la moisissure, à consommer rapidement ou à congeler.
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Voili, voilou : je retourne à la cuisine, d'autres versions m'attendent.
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