Couleur menthe à l'eau...

* Inévitablement, je vous propose d’écouter ceci…

* Forcément vous comprenez que je vais vous parler soit de couleur, soit de menthe, soit d’eau…

* Perspicacement, vous allez déduire l’objet de cet article…

         FEUILLES 

        DE MENTHE 

     CRISTALLISEES

Rien de plus simple,
un vrai jeu d'enfant…

Cette année, j'ai planté un pied de menthe dans le jardin et à ma grande joie, il s'est bien développé. (fô dire, inutile que je vous mente, que je lui parle régulièrement et le complimente)

Munie d'une paire de ciseaux, je prélève les tiges de mante menthe, religieusement. Laver et sécher les plus belles feuilles. (Complètement sans gène, j’ai aussi prélevé quelques toupets, hi, hi...)

Je prépare les autres ingrédients, un blanc d'oeuf et du sucre.

Je passe au pinceau, du blanc d'oeuf  légèrement battu des 2 côtés de chaque feuille.

Voici DEJA la dernière étape : avec une petite cuillère, saupoudrer de sucre (semoule, ou cristallisé) et déposer sur un papier sulfurisé ou sur une grille.

Je laisse sécher environ 24 H, en retournant une fois. Les feuilles sont devenues dures, et cassantes. A garder dans un pot  hermétique.

Bon, c’est bien joli, mais c’est pour quoi faire ?

* Croquez cette douceur charmante, n’ayez pas peur, c’est parfumé et craquant à souhait !!

* Je m’en sers pour décorer un gâteau, une assiette à dessert, pour déposer sur une glace ou une salade de fruits (avec des fraises… Quel régal ! Mais attention au dernier moment, sinon, cela ramollit).

* Pour les amateurs, tremper dans du chocolat noir.

Petite digression : sur le même principe, j’avais fait des pétales de roses très parfumées (de mon jardin) avec LA panacotta à l’avocat… Je ne vous dis que ça !!

Comme c’est la première fois que j’en ai autant, je vous propose :

* Le plus simplement du monde, quelques  feuilles dans de l’eau pétillante : ici, on est aux premières loges, puisqu’installés à côté de Saint Galmier, source Badoit…

* Penser aussi aux glaçons à la menthe, ultra rafraîchissants et, sans faire l’apologie de l’alcool, je dis "vive le mojito !"

* Macérées dans l’huile : hacher les feuilles et les mettre dans de l’huile. Oublier une ou deux semaines, puis filtrer. 

Cette huile agrémente de façon originale salades et taboulés.

* Séchée en bouquets suspendus tête en bas. A garder dans un bocal hermétique, à l'abri de la lumière. Pour une délicieuse infusion calmante, cet hiver au coin du feu. Et avec un sucre parfumé maison, divin, sans aucun doute. (cannelle et vanille, miam ! )


Je laisse pour une autre fois (peut être même la saint Glinglin... ) la sauce à la menthe pour accompagner le gigot d'agneau comme les anglais, ou encore la gelée de menthe, peu prisées sous les latitudes de ma maison.

Voili, voilou : au risque de paraître véhémente, je vous invite à tester cette recette démente... 

Monsieur et Madame…

VERT ont un fils…
Allez, je ne vous fais pas languir...

Réponse de suite : Adam

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Bon, ce n’est pas tout à fait un verre à dents, mais un "genre de pot" pour ranger les brosses , de façon à éviter tout désagrément ! 

Là, c'est de l'HUMOUR...

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J’ai retrouvé dans mes placards... 
(mais je savais que je l’avais, si, si ! ) de la pâte auto durcissante. Je l’avais achetée alors que je n’imaginais même pas qu’un jour je ferais de la poterie !

Je commence par faire une plaque assez fine. La pâte se roule bien, mais les bords se craquèlent, sans doute est elle trop vieille. (C’est un peu comme vous… euh nous… enfin moi,  avec les rides ! )

Après avoir longuement réfléchi, je coupe un rectangle et imprime un côté à l’aide d’un chemin de table en plastique. L’empreinte me plaît.

Je réalise un gabarit, en utilisant un flacon de parfum recouvert d’un carton.

J’applique ma pâte sur mon support et replie simplement le bas. J'appuie un peu pour souder l'arrière. Voilà, c’est fini.

Je laisse sécher (Ah, au fait, Chéri, t'as vu, le flacon est presque vide…). Aucune indication sur l’emballage sur le temps à attendre, un peu au hasard donc... 48 H.                                
Je le laisse nature, juste deux couches de vernis satiné aquaréthane (à base d’eau, celui que j’utilise pour mes meubles en carton).

Hop, je l’installe dans la salle de bain : c' est tout de même bien plus sympa que le verre publicitaire qui nous servait à cet effet.

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Voili, voilou :  et NON, ce n'est pas parce que nos brosses à dents se tournent le dos que je fais la tête à Chéri... 

                 
Là aussi , c'est de l'HUMOUR...

Opération lavande

Ce matin, j’ai cueilli tout le reste de lavande du jardin.

Je fais encore quelques quenouilles, et pour le reste, voici une petite idée qui ne nécessite vraiment pas grand-chose. Regardez donc.

Découper un rectangle dans une chute de tapisserie. Scotcher bord à bord sur le plus grand côté.

      Un rectangle de 10 x 12 cm 

       à plier en 2

Préparer l’attache, pour le suspendre éventuellement : un petit morceau de ruban de satin, scotché dans l‘angle, du côté opposé au grand côté que je viens de fermer.

Pour renforcer le parfum de lavande, je mélange les fleurs avec quelques gouttes d’huile essentielle.

Je remplis le berlingot… Je ferme l’autre extrémité avec le scotch en décalant pour former le berlingot.

Je me lâche et, sans loucher, lynche méthodiquement le berlingot à l’aide de l’épingle, pour que le parfum de lavande puisse se diffuser.

Une petite fleur pour agrémenter le berlingot… avec une goutte d’ HE sur chaque pétale ! Il m’a fallu environ 5 minutes par berlingot, super rapide donc...

Et de 3 ! 

Voili, voilou : c'est tout pour aujourd'hui ! 

La belle au bois dormant…

...et sa quenouille de lavande 

Avant… mais ça, c’était avant… je n’avais que des fleurs séchées de lavande pour parfumer mes armoires comme ici ou là ( lettre "B") 

Maintenant, j’en ai plusieurs pieds dans mon jardin, et il y a beaucoup de fleurs. Je vais donc procéder autrement. Je file faire ma cueillette en laissant les tiges aussi longues que possible.

Comme à mon habitude, j' ai commencé par aller fouiner sur la toile et j’ai amplement trouvé de quoi faire, ici ou là par exemple…

Allez, je vous montre mon ouvrage !
Ne pas attendre trop longtemps après cueillette, sinon les tiges deviennent cassantes. Eventuellement les laisser tremper dans un vase avec de l'eau. Ensuite, j’effeuille les tiges. Je garde les fleurs que j’enlève pour de futurs petits sachets de lavande.

J’attache mes brins (nombre impair, ici 25), bien serrés avec du fil à coudre et emmaillote sommairement les fleurs.

Je retourne doucement les tiges, en enfermant le bouquet à l’intérieur. Bien répartir les tiges tout le tour.

Je commence à tresser avec le ruban de satin, en prenant les tiges une à une : dessus, dessous, dessus, dessous... 

Je continue, jusqu’à ne plus voir de fleurs. Les 2 derniers tours je groupe les tiges par 3. Je maintiens mon ruban avec plusieurs tours de fil blanc.

Pour terminer, un petit flot. J’ai passé environ 1 H. Pas très rapide donc, je vous l’accorde, mais c’était la première fois…

Pour le 2ème essai, je pique l'idée du bouquet tête en bas dans une tasse pour commencer le tissage.

Je prends 34 brins que je groupe 2 par 2, maintenus avec du scotch. Le début est facilité. Après, je continue normalement...

Et pour en profiter pleinement : 

* Presser légèrement le fuseau de lavande pour bien en sentir le parfum.

* Penser à quelques gouttes d'huile essentielle de temps en temps.

Voili, voilou : que ce soit quenouille ou fuseau, voici une bien jolie façon de parfumer…

Ravalement de façade…

                  

                 
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21 décembre 2012 : ce ne fut pas la fin du monde, comme certains l’avaient interprétée d'après le calendrier Maya …

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Pour celui-ci, rapporté du Mexique, une petite mise en beauté avant de l’offrir. Dessiné, pyrogravé et peint sur une feuille de cuir.

Phase 1 : achat d’un cadre tout fait chez le suédois… J’en profite pour faire un tour rapide du magasin et trouve (oh, comme c’est bizarre) quelques babioles totalement indispensables à glisser dans mon chariot…

Phase 2 : Le passe partout du cadre est trop grand, je le recoupe.

C’est cette partie que je recouvre de papier de soie collé au vernis colle.

Le rouge étant très rouge (ben voui, c’est du rouge mais pas tout à fait dans le même ton que celui du calendrier et trop flamboyant…), je colorie au feutre pour faire un petit effet… Et je me lâche avec une ligne pointillée de toute beauté, tout le tour… 

Phase 3 : avortée, mais je vous montre quand même !  

2 options s’offraient à moi :

* "Décorer" de quelques graphismes d’inspiration maya dont j’ai le secret. Je fais des essais aux feutres indélébiles sur des bandes de plastiques transparents (scotchées, pour voir…)

* Laisser le cadre tel quel, il s’accorde parfaitement avec la couleur du cuir… De l’avis général des présents ici bas (Chéri et moi), c’est mieux sans fioritures… Donc, je laisse nature.

Voili, voilou : c’est fini ! C'est quand la prochaine fin du monde annoncée ?