Comment nouer de belles relations…

Au hasard de mes dernières pérégrinations sur la toile, j’ai vu quelques vidéos présentant des nœuds en macramé du plus bel effet. Bien évidemment, j’ai de quoi faire dans mon stock.

👵 Ayant quelques heures devant moi avant le fatidique moment de préparer le repas, je me lance. Pour chaque modèle, j’ai 👀 la vidéo plusieurs fois, car elles sont parfois rapides. 

👉Le nouveau porte clés complètement indispensable. (ICI) 

Les nœuds viennent s’aligner sur la cordelette de base.

L’effet spiralé se forme de lui même. Un nœud du pendu à la fin, le briquet pour coller les extrémités.

Bien évidemment, ce tressage est déclinable à l’envi.

👉 La tresse plate (ICI) 

Tout aussi facile que le précédent. Seul bémol, quelle que soit la vidéo, il n’est jamais indiqué la longueur utilisée. Pour un projet précis, c’est peut-être difficile de quantifier la longueur nécessaire. 

Deux perles et  nœud coulissant pour un bracelet réglable.

👉 La "frisée" (ICI) 

Là encore, enfantin, pour un bel effet. Toujours le même nœud, mais plus ou moins descendu pour créer les boucles.

Même à plat, j’aime bien.

Il suffit de tourner les boucles pour donner l’effet frisottis.

👉La plus volumineuse, uniquement sur les doigts (ICI) 

Quelques détails, mais la vidéo est très parlante.

J’ai bien envie de me faire un collier avec ce modèle. Je vous montrerai, SI je concrétise. 😂

Un plumet de ficelle.

Pour les grigri, pendeloques et autres "sert à rien", c’est fini. 

👉 Reste une petite vidéo (ICI) qui m’a fait de l’œil. C’est une simple succession de nœuds sur la cordelette de base.

J’ai choisi option feignasse rapide avec le pistolet à colle.

Une petite languette de cuir, elle aussi collée. Là, c’est un mini format, mais à décliner en XXL pour un set ou un dessous de plat.

Cette fois, j'ai fini, il est d'ailleurs largement grand temps que j'aille en cuisine, ça ne sent guère le mijoté pour l'instant.

Voili, voilou : ce ne sont que des échantillons que j'imagine bien en version bracelet, collier, grigri, porte clé, embrasse de rideau, anse de sac, déco à accrocher...

A faire toute seule, sans Z’OEUFS...

Trouvé dans mon petit livre "Chocolats et confiseries" d’Anne Wilson que j’ai depuis des années, la preuve par ici, si nécessaire !

Et mille pardons pour mon titre oh combien limite, hihihi !

J’étais SI TANT sceptique quant à la réussite de ces friandises sans blanc d’œuf, imaginant une boulette dans le livret, que je n'ai fait aucune photo au départ. Mais, j’ai tout de même essayé.

Ingrédients et proportions à la fin. GENIAL, aucune cuisson.
J’ai mis le sucre blanc délayé avec l’eau et battu au batteur électrique pendant 3 mn, comme la dame avait écrit. 

Parallèlement, j’ai mis à tremper la gélatine en feuilles dans de l’eau froide pendant 10 mn. Je les ai essorées rapidement et mises à fondre au micro ondes à 70 % de puissance, durant 20 s, avec 2 CS d’eau.

J’ai incorporé au mélange sucre/eau en battant, d’abord à petite vitesse, puis en augmentant rapidement. Le tout pendant environ 8 mn. J’ai ajouté 5 gouttes de mon précieux extrait de vanille et un peu de colorant.
Je n’y croyais pas, mais la masse est devenue mousseuse.
J’ai versé dans un moule garni d’un papier sulfurisé beurré, puis lissé le dessus à la spatule humide. Il n’y a plus qu’à attendre.

Démoulage facile sur un plat contenant autant de sucre glace que de maïzena. Le couteau en est également enduit, sinon, ça colle. Je coupe des bandes, puis des morceaux à passer dans le mélange sucre\ fécule.

J’en ai enrobé une partie de chocolat noir, pour un bel effet damiers.

DEGUSTATION : cours de poterie oblige, ce fut mes premières victimes (consentantes) pour tester. Unanimes ! D’ailleurs, il n’y en a plus.

Voulant prendre quelques photos de la réalisation, j’ai recommencé, mais bien moins belle réussite. Je pense savoir pourquoi :
* Déjà, trop de colorant, utiliser un compte gouttes.
* Ensuite, j’ai parfumé à l’arôme (soit disant) pistache. Là, encore, la main un peu lourde, le goût n’est pas mauvais, mais quant à avoir le parfum de pistache… Il faut vraiment chercher.
* Mais SURTOUT , j’ai utilisé du sucre où macérait des gousses de vanille, bien parfumé, mais un peu humide, donc plus lourd. Concrètement, à l’insu de mon plein gré, j’ai donc mis moins de sucre que la première fois et plus de liquide… vous me suivez ? 

Comme on dit "jamais deux sans trois", je re-recommence avec du sucre blanc. Je mets 6 gouttes de colorant jaune et arômes de pomme et de nougat. Tout se passe bien, découpe facile.

Voili, voilou : je vais pouvoir en faire avec mes petites filles !

Cercles d’amis…

Jadis, j’ai acheté un lot de cercles à broder avec quelques idées derrière la tête. Régulièrement, je leur ai fait prendre l’air, les ai admirés, leur ai parlé puis les ai rangés soigneusement. La dernière fois, c’était d’ailleurs si soigneusement que je les ai retrouvés par hasard très dernièrement.                         (J’exagère, mais à peine !)

**********

Un cercle à broder, ça sert, logiquement, à broder. Évidemment, vu mes capacités dans ce domaine, même si, A MON SENS, j’ai fait de notoires progrès, je sais qu’il ne faut pas que je me lance dans des projets compliqués. Donc, c’est du simple ! 

Numéro 1 : un morceau de drap récup tendu… un peu d’écriture… déco minimaliste de roses en ruban...

Numéro 2 : peinture du cercle…

fanions de feutrine cousus… petit mot de bienvenue...

Numéro 3 : cadre violet… ancienne serviette de table brodée, le choix est vite fait, je n'en ai qu'une de la sorte...

Point de nœud en mouliné 3 ou 6 brins...

Numéro 4  : tour peint et points de feutre Posca. Pour l’arc en ciel, de la ficelle récup de serpillière (comme le cactus, ICI), un fil de fer léger pour permettre la courbure et de la laine.

Tout est collé au pistolet. J’avoue, j’ai un petit faible pour ce dernier.

Pour tous, à l’arrière, j’ai passé un fil pour froncer le tissu.

Un disque découpé dans une matière qui ne s’effiloche pas et collé au pistolet. "Mon" étiquette.

J’aimerais constituer une petite cagnotte pour une assos en direction des enfants hospitalisés et pouvoir faire un virement en fin d’année. Donc, je les vends. N’hésitez pas à me contacter !

Voili, voilou : d’autres créations possibles à la demande.

Salut Popeye !

Si j’imagine aisément que les plus jeunes ne connaissent pas Popeye, je suis bien sûre que d’autres, plus âgées, jeunes depuis plus longtemps se souviennent de lui.

Au menu de Popeye, des épinards, encore des épinards et toujours des épinards. Je suis donc probablement démasquée avant même de vous avoir présenté les ingrédients de cette préparation, à base… d’épinards, bien évidemment !

Ayant une aversion profonde et de très longue date pour les épinards, j’ai vraiment BeaUCouP hésité avant de faire puis goûter.

L’expérience ayant été très concluante, je vous partage. D’autant que c’est bien facile à faire. Ici, environ 140 g d’épinards.

Ce plat se nomme BORANI ESFENAJ et fait partie de la tradition culinaire iranienne. De quoi voyager sans quitter sa cuisine.

J’ai émincé l’oignon et haché l’ail. Faire revenir dans de l’huile d’olive.

J’ai lavé les épinards frais puis je les ai équeutés, avant de les couper en lanières puis en menus morceaux.

Je les ai ajoutés dans la casserole. Cuire et laisser étuver durant environ 10 mn. Laisser refroidir. Ajouter un yaourt grec et saler. Réserver au frais. Pour servir : morceaux de noix torréfiés à sec. 

On trempe directement son pain ou des bâtonnets de légumes dans le borani, en entrée fraîche, comme du tzatziki. Bingo, c’est délicieux. Cela peut être également en accompagnement de viande grillée ou de légumes, mais je n’ai pas essayé.

Voili, voilou : un légume à mettre à l’honneur dans les assiettes.